1. Toute les femmes s'appellent Marie : Au sauna


    Datte: 04/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... Putain que c’est bon !»
    
    Avant de retourner au jacuzzi, qui est généralement le lieu des rencontres avec le hammam et le sauna, je lui propose de monter à l’étage.
    
    Nous passons rapidement dans les salles de projection homo et hétéro. Il n’y a d’ailleurs personne. Généralement ce sont les visiteurs du sex-shop mais le soir il n’y en a pas. Je lui montre ensuite la cabine du « sling », qu’elle veut immédiatement essayer. Elle fait tomber son paréo, se place dans le siège en cuir suspendu par des chaînes, pose ses jambes sur les étiers et me demande de la prendre ainsi.
    
    Elle se trouve très salope ! Entendant du monde derrière la porte, elle accentue ses gémissements en clignant de l’œil et en riant. Heureusement pour moi, Marie jouit vite, car je sentais monter le sperme dans mes reins et n’aurais pas tenu très longtemps. La soirée n’est pas finie. Nous quittons l’endroit, et nous promettons d’y revenir.
    
    La « backroom , ce lieu complètement noir où on ne sait qui vous touche ne lui plaît guère, en revanche, elle veut essayer aussitôt le « glory hole ». La laissant dans une cabine, je fais le tour pour me placer dans celle qui est vis-à-vis et lui présenter ma bite à travers le trou. Au moment d’entrer, un homme se trouve dans le couloir, je lui propose de prendre ma place, lui précisant que quelqu’un de l’autre côté attend.
    
    L’homme y reste quelques minutes et lorsqu’il sort, je prends sa place et présente ma queue. Une bouche s’en saisit aussitôt et me suce ...
    ... goulument. Je me retire difficilement à la limite de jouir. Je contourne les cabines pour retrouver Marie qui sort de la sienne.
    
    « Salaud ! Dit-elle en riant. Tu as envoyé un autre mec à ta place en premier ! Tu croyais que j’allais me dégonfler ?
    
    Non. Mais quand je l’ai vu devant la porte, je me suis dis que c’était une étape de plus dans ton libertinage. Tu n’as pas aimé ?
    
    Surprise d’abord car il avait une bite plus grosse que toi… et que…celui de la douche, mais elle était plus molle. En plus, il avait plein de poils.
    
    Ça t’a excité ?
    
    Au début, pas trop, ensuite, j’ai pensé que j’étais en train de sucer un inconnu, que je ne voyais pas son visage ni son corps. Le seul truc accessible c’était sa bite et ses couilles et que ça me plaisait. Alors là, j’ai vraiment mouillé.
    
    Je suis sûr que tu t’es branlée petite salope !
    
    Oui ! Je suis une petite salope et je me suis branlée. Quand ta bite est apparue, je l’ai de suite reconnue et alors j’ai jouis en me branlant.
    
    Félicitations ! Je t’adore ! Un baiser scelle notre connivence.
    
    Tu me diras quel homme j’ai sucé ?
    
    Surement pas, tu vas le croiser sans doute, mais je ne dirais rien.»
    
    Nous passons enfin dans le fumoir à la vitre sans tain. Marie ne fume pas, mais rigole de voir passer les gens sans qu’ils nous voient. Le temps de griller une cigarette, un couple arrive. Quarante cinq, cinquante ans, la femme pas très grande, un peu ronde avec manifestement une belle poitrine, l’homme plutôt musclé la dépasse ...
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