1. Toute les femmes s'appellent Marie : Au sauna


    Datte: 04/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... aux pieds et pagne à la taille je m’approche d’elle.
    
    « J’ai déjà le privilège de te découvrir dis-je en riant, et ce que je vois est particulièrement joli !
    
    Arrête ! Déjà que je ne suis pas très à l’aise. Ne te fous pas de moi !
    
    Pas du tout ! Au contraire ! Je découvre que tu as de très jolies formes alors que tu es toujours habillée avec des vêtements qui cachent tout !
    
    J’ai pas de seins, ni de fesses.
    
    Détrompe-toi ! Tes seins sont moins ronds que chez certaines mais ils sont très jolis et semblent ferme. Ta silhouette est très harmonieuse et franchement tu es vachement plus belle nue ! Si j’avais sû ! Mais, s’il te plaît, mets ton paréo, ou je ne réponds de rien.
    
    Tu vas me sauter dessus ? rigole-t-elle.
    
    Non, mais mon pagne va me trahir !
    
    Quoi ? Tu bandes déjà ? Salaud !
    
    A ton avis ? Allez dépêche ! »
    
    Je l’aide à attacher le paréo, puis m’agenouille pour lui passer le bracelet à la cheville. Ce bref instant me permet de respirer son parfum de femme, ma foi, très agréable. Marie est une fausse maigre. Au contraire. Ses formes sont très jolies, elle est musclée et elle porte allègrement ses quarante cinq ans. Ma déclaration n’était pas feinte et je bande vraiment !
    
    - « On prendra un douche après, - il faut que je débande un peu - pour l’instant, je te fais visiter. »
    
    Un simple rideau de perle sépare le vestiaire de l’entrée vers les salles. A gauche, un passage vers celle du jacuzzi. Un grand bassin d’eau bouillonnante avec une plage ...
    ... autour et des transats. Dans l’eau, plusieurs hommes et deux couples. Un distributeur de café nous permet de regarder négligemment ce qui se passe, sans en avoir l’air. Je décide de nous y tremper plus tard et pour l’instant, de terminer le tour du propriétaire. Nous poursuivons la visite. Une salle avec un immense matelas, lieu parfois d’exhibition. Des rideaux ajourés permettent un semblant d’intimité. A gauche et à droite de cette estrade, un couloir avec dans chacun, des cabines dont quasiment toute la surface est prise par une sorte de plancher assez haut – une hauteur calculée - recouvert d’un matelas plastique.
    
    Les cabines ont des portes dont on peut fermer le verrou pour ne pas être dérangé. Au fond du couloir, en revanche, une alcôve un peu plus grande qui elle n’a pas de porte. Là, les occupants s’exhibent comme dans la grande salle et parfois sont rejoints par d’autres partenaires l’ouverture de la pièce invitant à la pluralité et l’échange.
    
    Nous revenons vers l’entrée et je remarque au passage les coups d’œil vers ma cavalière qui a l’air au goût de certains. En effet, les couples qui fréquentent ce genre d’endroit sont généralement libertins et donc une ouverture est toujours possible et les amateurs à l'affût. Personne cependant ne tente quoi que ce soit pour l’instant.
    
    Je termine la visite de cette partie en désignant le sauna dans lequel il doit y avoir du monde car des serviettes sont présentes sur les patères. Je demande à Marie si elle ne préfère pas ...
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