La femme coupée en deux...
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
extraoffre,
cocus,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
pied,
Auteur: Taz, Source: Revebebe
... Il a joué au petit Poucet, semant des petits cailloux érotiques qui me menaient droit à sa femme mais, à son attitude, il semblerait qu’il n’était pas au courant qu’Anne ait accepté une entrevue coquine avec moi cette nuit.
Je tourne et retourne la situation dans tous les sens sans réussir à me convaincre de l’exactitude d’un scénario. Je finis par m’endormir au petit matin.
Nous sommes réveillés par Patrick qui ouvre les volets de notre chambre en nous disant qu’il est l’heure de se réveiller car ils doivent emmener Thomas à son stage de voile en Bretagne. La tête dans mon oreiller, je regarde Patrick du coin de l’œil. Il n’a plus la mine déconfite de cette nuit et a plutôt l’air de bonne humeur.
— Allez, debout les garçons, c’est une belle journée, vos petits déjeuners vous attendent. Thomas, presse-toi un peu, tu as encore ta valise à préparer.
Je me retourne enfin et pose un pied par terre. Patrick me regarde en souriant.
— Salut, bien dormi ?
— Euh oui, fais-je, merci.
— P’tain, laisse-nous tranquilles, grommelle Thomas dans son coin.
— Bon, je vous attends dans la cuisine. À tout de suite.
Il quitte la pièce, juste avant de sortir, il se retourne à nouveau vers nous.
— Et baissez les étendards avant de sortir, c’est pas encore le 14 juillet, vous serez plus présentables… nous lance-t-il.
Il accompagne ses paroles d’un clin d’œil appuyé dans ma direction.
Je ne percute pas tout de suite, mais en baissant les yeux, je m’aperçois que mon ...
... caleçon est largement déformé par une belle érection matinale. À ce moment précis, je pense instantanément au fait que ma queue porte encore les effluves de la chatte d’Anne, ce qui, évidemment, ne m’aide pas à me calmer.
Thomas finit par se lever, il a encore une tête de champignon ce matin, j’ai peut-être un peu forcé la dose hier soir pour pouvoir être tranquille cette nuit. Les yeux gonflés, les cheveux en pétard, il m’adresse un « s’lut » avec une voix d’ours des cavernes.
— C’était vraiment top, le concert hier soir.
— Oui, on s’est bien éclaté, surtout vous deux, réponds-je en prenant l’air le plus crédible possible, car je n’ai absolument rien suivi du concert de la veille, tout mon esprit étant monopolisé par le rendez-vous qu’Anne et moi nous étions fixé par SMS.
Nous nous dirigeons tous les deux vers la cuisine. J’ai le cœur qui bat la chamade. À ma grande stupéfaction – mais pouvait-il en être autrement ? – ils agissent avec moi comme si de rien n’était, Anne se lève pour nous faire la bise, d’abord à son fils, puis à moi.
— Café ? me demande-t-elle.
— Euh, oui, s’il vous plaît.
Thomas comme à son habitude s’installe à table et attend de se faire servir. Le repas se passe autour de sujets banals.
— Alors ce concert hier soir ? nous demande Anne.
— C’était génial, lui répond Thomas en se lançant dans la description de la scène, la démesure du show, le son à couper le souffle et surtout la présence scénique de son groupe favori.
Pendant ses ...