1. La femme coupée en deux...


    Datte: 04/03/2018, Catégories: fh, jeunes, extraoffre, cocus, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme pied, Auteur: Taz, Source: Revebebe

    J’avais 21 ans, j’étais encore étudiant.
    
    Ce récit est en partie réel, et en partie imaginé, je vous laisse démêler le vrai du faux dans cette histoire.
    
    Résumé de l’épisode précédent : Anne a joué avec moi la veille, en ménageant le chaud et le froid à mon égard. Elle m’a envoyé des photos d’elle « par erreur », me permettant de lui fixer un rendez-vous dans la nuit. Nous nous sommes retrouvés en pleine nuit dans son salon et y avons vécu des moments torrides. Mais, aussitôt après nos ébats, quelqu’un s’est levé dans la maison et est entré dans le salon.
    
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    Elle se relève et commence à ramasser ses affaires.
    
    Je me demande bien où cette femme et cette histoire vont bien pouvoir me mener.
    
    Soudain, dans le couloir, un rai de lumière apparaît, la porte du salon s’ouvre…
    
    C’est Patrick, il glisse sa tête dans l’ouverture de la porte, allume la lumière et nous découvre Anne et moi, nus dans le salon.
    
    — Qu’est-ce que c’est que ce bordel ici ?
    
    Je suis tétanisé. Anne s’approche de lui, calmement, je sens l’orage approcher.
    
    — Chut, lui dit-elle et, comme pour mieux le bâillonner, elle pose ses lèvres sur les siennes et lui roule un patin magistral.
    
    Décidément, cette femme a le don de ne pas répondre aux questions qu’on lui pose. Je profite de ce court répit pour ramasser mes affaires au sol et me rhabiller dans la pénombre d’un coin du salon.
    
    Lorsque leurs lèvres se détachent enfin, Anne pose un doigt sur la ...
    ... bouche de son mari.
    
    — C’est ce que tu voulais, non ?
    
    Il ouvre la bouche mais, ne trouvant rien à répondre à sa femme, il la referme presque aussitôt. Sans se retourner ni vers moi, ni vers son mari, Anne se dirige vers sa chambre, laissant Patrick incrédule. L’idée de me retrouver seul avec lui à cet instant précis m’effraie, si bien que j’effectue machinalement un pas en retrait. Il me jette un regard dont je ne saurais dire s’il était haineux ou inquiet, puis éteint la lumière avant de suivre sa femme dans le couloir.
    
    Puérile vengeance, il me laisse comme un con dans le noir, à moitié à poil. J’ai connu des moments plus fastes. Je n’ose plus bouger. Lorsque j’entends la porte de leur chambre qui se ferme, je me décide à sortir et me dirige sans faire de bruit vers ma couche dans la chambre de Thomas.
    
    L’avantage avec Thomas, c’est qu’il reste où on l’a laissé, et avec ses ronflements, on peut le surveiller à distance. Il dort comme un loir et n’a vraisemblablement aucune idée de ce qui vient de se passer. J’avance à tâtons vers mon matelas et m’y allonge fébrilement. Évidemment, je ne dors pas et, entre les respirations de Thomas, j’essaie de tendre l’oreille afin de percevoir un bruit provenant du couloir ou de la chambre de ses parents. Rien…
    
    Le film de ces deux dernières journées repasse en boucle dans ma tête, je ne comprends pas le petit jeu que me mène ce couple, je pensais qu’ils étaient complices dans leurs jeux, mais la réaction de Patrick m’interroge. ...
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