1. Dialogue avec ma q---e


    Datte: 17/06/2019, Catégories: fh, hplusag, couleurs, inconnu, hotel, voyage, voiture, autostop, Transexuels Oral 69, pénétratio, fsodo, portrait, occasion, Auteur: P.R. de Montels, Source: Revebebe

    ... trouvé sympathique au premier coup d’œil et j’ai voulu vous piéger pour votre demande insolite qui, finalement, vous a mis dans l’embarras, je l’ai bien vu.
    
    Elle parlait maintenant sans accent un parfait français.
    
    — Il est temps que nous fassions plus ample connaissance, dit-elle en riant. Je m’appelle Sassou et je suis originaire du Nigéria, mais entrée en France à l’âge de quatre ans. J’ai fait des études supérieures à Toulouse et je viens d’obtenir mon master de lettres modernes. Je monte à Paris pour me présenter à une boîte qui recherche mon profil. Et si je suis aussi libre avec le sexe, c’est que, pour payer en partie mes études, en fin de mois je proposais des massages érotiques et « plus si affinités ». N’étant pas trop mal faite et l’exotisme aidant, je n’ai pas manqué de ce genre d’activité.
    
    Un grand sourire au râtelier parfait accompagnait ses propos.
    
    Je me présentai à mon tour, et après avoir bu un café à la cafétéria nous reprîmes la route. Après quelques échanges verbaux plus ou moins anodins, Sassou me proposa de faire étape avant d’arriver à Paris, dans la mesure où cela ne bouleversait pas mon programme. Armande, loin d’être sourde, me fit sentir que ça pourrait être une bonne initiative. Docile, je me rangeai à son avis et approuvai la proposition. Sassou me gratifia d’un merci ponctué d’une grosse bise sur la joue et d’un « Cool… » prolongé.
    
    Au Novotel, nous avons pu dîner tranquillement ; il n’y avait pas foule sur les routes en cette ...
    ... période d’hiver. Je sentais Armande impatiente de monter dans la chambre où nous n’avions que déposé nos bagages avant de descendre boire un apéritif au bar et de gagner la salle de restaurant. Nous avons commandé des tartares, car avec les magrets c’était le seul plat convenable de ce genre d’établissement. Un Côtes-du-rhône fit descendre viande crue et ramequin de petits légumes. J’adore les frites, mais cela risquait d’être un peu lourd pour le programme qu’Armande et moi projetions avec la complicité de Sassou.
    
    Le café bu, nous montâmes dans la chambre. Nous n’avions pris qu’une chambre : un seul coup d’œil à Sassou m’avait fait comprendre qu’il était inutile de dépenser plus. Armande fut tout émoustillée dès que la porte de la chambre fut refermée, pressentant que des moments intéressants pour elle allaient commencer.
    
    Tout en roulant toujours calmement, Armande me retraça ce qu’avait été cette nuit avec Sassou :
    
    — Souviens-toi comme elle était belle avec ses longues jambes fines aux mollets hauts, son ventre plat qui contrastait avec des fesses rondes aux reins très cambrés et des seins au toucher de velours et d’une fermeté incroyable avec leurs grandes aréoles roses au bouton central qui était capable de s’allonger de plus de deux bons centimètres sous la caresse. Souviens-toi de sa chatte en partie épilée où les poils couleur d’ébène dessinaient un cœur juste au-dessus de sa fente. Souviens-toi des petites lèvres roses qui sont apparues à l’intérieur de la corolle ...
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