1. Dialogue avec ma q---e


    Datte: 17/06/2019, Catégories: fh, hplusag, couleurs, inconnu, hotel, voyage, voiture, autostop, Transexuels Oral 69, pénétratio, fsodo, portrait, occasion, Auteur: P.R. de Montels, Source: Revebebe

    ... rappela que cette soirée n’avait pas été la dernière, car Béa, enchantée de la prestation, demanda à être plus profondément initiée à la connaissance du sexe masculin et de certains jeux. En entendant ces demandes, Armande sauta de joie et se prêta avec dévouement à ces leçons de choses. Béa se révéla une élève douée qui s’était libérée de tout tabou. En trois soirées elle devint la meilleure amie d’Armande, n’hésitant pas à lui en faire voir de toutes les couleurs avec tous les trous qu’elle possédait.
    
    En fin de congrès, la séparation fut un peu triste. Armande et moi ne sûmes jamais si Béa avait atteint son but. Nous restâmes un moment perdus dans nos pensées, pensées qui s’efforçaient d’analyser le processus de dépucelage, nous repassant en boucle le scénario pour l’analyser en vue d’une improbable autre opportunité, mais surtout pour en jouir encore à travers les images qu’Armande et moi en avions gardées.
    
    La nuit se prolongeait calmement et nous nous arrêtâmes dans une station-snack au bord de l’autoroute. Après avoir fait le plein d’essence, nous nous dirigeâmes vers le kiosque de paiement et les toilettes. La caissière était une magnifique Noire aux traits peu négroïdes. Un visage jeune aux yeux noirs et aux longs cheveux crépus. Une poitrine abondante s’échappait de son corsage. Armande ne pouvait retirer ses yeux de la vue de ces deux globes noirs à peine cachés par un paréo qui lui servait de soutien-gorge et de chemisier.
    
    Armande n’est jamais raisonnable, ...
    ... et j’avais beau lui expliquer qu’il était inutile de s’exciter ainsi, elle continuait à gonfler et je ressentais le sang qui battait dans ses veines. Pour la distraire, je l’amenai aux toilettes. Il lui fallut quelques secondes pour inverser les flux et sortir quelques centilitres de liquide jaunâtre. Nous reprîmes rapidement la route afin de nous éloigner de l’élément tentateur. Mais après avoir boudé quelques petits kilomètres, Armande me rappela l’histoire qui nous était arrivée deux années en arrière.
    
    Alors que nous entrions à un péage d’autoroute, j’aperçus une centaine de mètres plus loin une silhouette au bras levé et au pouce tendu, signe caractéristique de l’auto-stoppeur. En quelques secondes nous fûmes à sa hauteur pour constater que la silhouette était une jeune femme noire avec une valise à ses pieds. Vérifiant rapidement que je pouvais freiner et m’arrêter sans danger, je stoppai quelque cinquante mètres plus loin. Nous étions en hiver et il ne faisait pas chaud, aussi était-elle emmitouflée dans une grande capeline qui uniformisait sa silhouette et cachait en grande partie son visage.
    
    S’approchant de ma portière, elle me demanda avec un bon accent africain si je pouvais la mener jusqu’à la prochaine ville. Ne voyant aucun inconvénient majeur à cela, je répondis affirmativement. Mais au moment où elle prenait place sur le siège passager après avoir déposé son bagage sur le siège arrière, un vieux réflexe carabin me fit dire :
    
    — Pas de problème, mais il ...
«12...567...»