1. Mon premier amour saphique


    Datte: 04/03/2018, Catégories: ff, parking, init, ecriv_f, Auteur: Femme, Source: Revebebe

    ... t’embrasser, caresser ta joue de la mienne, de mes lèvres, fouiller ton cou, parfois une main abandonnait un de tes beaux fruits, pour s’attarder dans tes cheveux, pour les tirailler, pour te faire cambrer plus encore.
    
    Tu soulevais ton sexe, tu entrouvrais la bouche pour laisser échapper de petits gémissements, tu redevenais timide et comme j’aimais cette timidité, comme j’avais envie de la bafouer tout en te câlinant !
    
    Alors que ton corps se faisait raide, que ton ventre se crispait, mon sexe se liquéfiait, était trop vide et avide de toi. Mon con pompait, j’aurais voulu ton doigt, tes doigts, ta main, je ne sais pas, je ne sais plus.
    
    Mais moi aussi, j’ai mes timidités à vaincre. Vierge de toute femme, il me fallait du temps pour être à même de m’offrir, sans vergogne et tel que je le souhaitais. Et surtout ! mon bonheur résidait surtout dans le tien. Donc, me voilà comme un petit soldat chargé d’une mission et d’une tâche divine : obtenir ta jouissance, tes cris, tes cambrures, tes odeurs…
    
    Je voulais tout découvrir, tout apprendre et tout prendre, et surtout, mon bel amour, t’entendre, te voir aimer, vouloir encore, t’oublier.
    
    Maladroitement, et sûrement trop brutalement, j’ai réussi à te retirer ce maudit pantalon que j’avais trouvé pourtant sexy, et que je détestais d’un coup, tant il me gênait dans l’exploration de ton corps.
    
    J’ai vu, j’ai aimé ! Ton sexe si doux, tes lèvres fines recouvrant à peine ton bouton d’amour, puis ta nudité, que j’écartais ...
    ... pour découvrir l’orifice sacré. Je n’osais pas trop m’y aventurer, alors que j’avais tant rêvé de découvrir toutes tes intimités. Effleurant ta corolle si douce, si rose, j’ai préféré la titiller un peu, je te voulais plus soumise, plus désireuse. Puis, sans m’en apercevoir, ma main glissait déjà vers l’obscurité de ta belle grotte, chaude, humide. Non, pas humide, trempée !
    
    Ce contact, la découverte de ton plaisir et l’onctuosité des débordements de ta fontaine : quelle merveille ! De fait, je crois que c’est à ce moment-là que j’ai complètement oublié que tu avais un corps, je crois que, guidée par mon propre désir, je me suis plongée dans ton sexe pour te donner, te donner encore, pour t’arracher des cris… J’aurais voulu que tu gueules.
    
    Grande pucelle et comme gamine face à un sexe si beau et si inconnu, ne sachant que faire, ou surtout comment, je voulais juste te manger, te dévorer même, te mordre, te boire, t’aspirer, te goûter, te croquer, je voulais te lécher, te lécher partout, découvrir tes odeurs intimes et affolantes, ces odeurs qu’on cache…
    
    Je voulais que tu m’appartiennes, que tu sois mienne, je voulais que tu meures dans mes bras, sous mes va-et-vient plus aussi tendres que mes doigts t’infligeaient, sous ma langue que j’aurais souhaité glisser partout autour de ton sexe, dans tes poils ras, dans tes aines, entre tes cuisses, là où c’est si tendre, sur tes lèvres que j’aurais mordues, dans ta fente que j’aurais forcée, sur ton bouton de rose qui te fait ...