1. Lettre à Caro - 2


    Datte: 15/06/2019, Catégories: f, fh, ff, fplusag, magasin, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme chaussures, Masturbation intermast, pénétratio, lettre, totalsexe, Auteur: Albertine, Source: Revebebe

    ... suivie de ma fidèle Françoise.
    
    Le magasin me paraît différent, le fond est éclairé, le mur de face est un grand miroir, à gauche un bureau, mon violeur est à demi assis dessus, attitude de théâtre très réussie.
    
    — Bonjour Nathalie, pourquoi ta copine ?
    — C’est Françoise. Elle reste près de la porte et si tu perds ton contrôle, elle hurle.
    — Madame veut essayer des escarpins, que madame prenne place
    
    Il veut répéter la scène qu’il a ratée, je m’y attendais. Mais son attitude à changé en une semaine, il paraît assuré, presque macho, la sexualité des garçons évolue brusquement semble-t-il.
    
    Un tabouret est préparé devant le miroir face au bureau, une grosse colonne crée un espace un peu à l’écart du magasin, pas mal pour un strip mais je n’en ai jamais fait devant des inconnus.
    
    Je prends l’initiative :
    
    — Il est propre au moins ce tabouret ?
    
    Je passe la main sur le cuir puis je soulève l’arrière de ma jupe pour ne pas la salir, c’est un geste rétro qui a toujours son succès. J’ai un peu exagéré le mouvement pour montrer mes bas jarretelles et mes fesses nues puis je m’assieds à califourchon en poussant un petit cri, le contact du cuir est censé exciter ma chatte sans protection, c’est dans les livres.
    
    — Bravo Caroline, mais vous êtes trop belle, vous ne réussirez pas dans le genre vulgaire, je ne suis pas certain d’avoir bien vu, vous n’avez pas de culotte ?
    — Passez derrière le bureau et vous le verrez bien.
    
    Gagné, il obéit. Je me lève et brusquement, ...
    ... je me vois dans le miroir ; c’est vrai que j’ai l’air d’une belle dame sévère, tout en blanc avec mes cheveux noirs en bandeaux. Alors, va pour le contraste et la vulgarité ; je lui tourne le dos, je me penche et je lance ma jupe en l’air comme les danseuses du french cancan.
    
    — Que c’est beau, quelles jambes et ce cul quelle perfection. Viens vite voir, Françoise.
    
    Zut, Françoise quitte son poste et accourt se planter derrière le bureau. Je la vois dans le miroir, ses yeux de myope écarquillés, sa bouche ouverte et le gamin qui la tient par le bras.
    
    Je reprends une attitude de dame sur le tabouret jambes sagement croisées. Coudes sur le bureau, visage dans les mains, Françoise me dévore du regard, sa croupe abondante est à portée de main du violeur de charme, je crains le pire.
    
    — Françoise, quel dommage, tu n’as pas vu ce cul. Quelle présentation ! Ces hauts talons vernis, ces jambes galbées, pas les baguettes de nos tops modèles, ces bas blancs tirés vers les hanches par les jarretelles, c’est comme une coupe toute remplie d’un seul fruit, une grosse pêche fendue, sous le nuage de chantilly de la jupe. J’aurais voulu voir la petite rose plissée, avoir le temps de la toucher, de la détendre pour qu’elle fleurisse sous mon doigt, pour qu’elle m’accepte.
    
    Pendant son discours, il pelote outrageusement les fesses de Françoise, je parie qu’il tripote son anus.
    
    Moi, je suis presque hors du coup, j’inspecte les environs.
    
    Des boîtes sont ouvertes à mes pieds, des ...
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