Marie - Ange & Démon (1)
Datte: 16/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
... rafraichissant après cet après-midi délicieux.
Du 2007, rafraichissant ! Je veux bien, à ce prix !
C’est gagné, Je vais me la faire.
Je la suis jusqu’au troisième étage où se trouve son appartement. En montant derrière elle, je ne peux détacher mon regard de son beau petit cul. J’ai de plus en plus envie de le voir, de le toucher, de le caresser.
J’avais déjà eu mon compte d’excitation sur le chemin du retour depuis la calanque de Marseilleveyre jusqu’à Callelongue, à chaque coup de Mistral j’attendais que sa jupe légère se soulève et plusieurs fois j’avais eu la chance d’apercevoir une petite culotte rose qui m’avait l’air bien sage. Elle m’avait fait bander sur la moitié du chemin et maintenant ça y était ! Je l’accompagne dans son appartement et elle comme moi savons ce qui va suivre!
Je réalise subitement que je le connais déjà cet appartement ou Marc avait photographié Marie dans presque toutes les pièces, le plus souvent habillée, parfois, plus rarement, en sous-vêtements plutôt sages. Je me souviens que quelques mois plus tôt, une photo d’elle en petite culotte blanche transparente avait suffi à faire mon régal. À l’époque j’avais été étonné de ma réaction. Elle paraissait si naturelle, bien loin des clichés et vidéos que j’échangeais d’habitude. C’est certainement cette fraicheur qui m’avait plu. Un profond soupir me tire de mes réflexions.
— Hello Fred, vous rêvez ? Nous sommes arrivés. Vous allez rester planté là ?
Je la suis dans le salon. ...
... Elle s’effondre directement sur le canapé.
— Finalement, je crois que je me suis bien tordu la cheville sur ce chemin pierreux, en plus, j’ai mal aux fesses, il y avait vraiment des passages super glissants aujourd’hui. Heureusement que vous m’avez rattrapée.
Et aussitôt de soulever sa jambe. Debout devant elle, j’ai sa cheville à hauteur des yeux et une vue imprenable sur sa petite culotte, ce qu’elle ne peut sans doute pas ignorer. Une cheville fine, que prolonge un adorable pied nu bien tendu. Je saisis le tout dans mes mains...
L’astuce est cousue de fil blanc, mais je n’en demande pas davantage. Je masse délicatement sa jambe du mollet au genou et je demande si, là aussi, ça lui fait mal. Les yeux mi-clos, elle ne répond pas. La tiédeur de sa peau me trouble, je me penche encore tout prêt à remonter vers sa fourche...Sa main vient à la rencontre de la mienne pour la poser sur sa poitrine bien rebondie. Sans trop savoir comment, nous roulons sur le canapé. Je me retrouve couché sur le dos, les jambes pendant dans le vide. Elle m’enfourche, s’asseyant sur mes cuisses. Ses yeux brillent. Doucement, elle se penche en avant, pose ses mains de part et d’autre de mon visage pour laisser couler ses cheveux sur mes joues. Sa langue se faufile entre mes lèvres entrouvertes, s’enroule à la mienne. Délicatement, mes mains glissent sous son chemisier…Elle a la peau douce. Je dégrafe ses boutons un à un, et sa peau se dévoile. Le chemisier est par terre, suivi du soutien-gorge à ...