Marie - Ange & Démon (1)
Datte: 16/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
... personne, amour et sexualité épanouie. Marc aime Marie mais baise en cachette avec Stéphanie qui se donne à lui, sans restriction. Mais ces trois-là travaillent dans la même boite et Marie s’aperçoit de son infortune :
— Salaud ! Me faire cela. En plus avec elle, cette pute d’Stéphanie, cette garce que je croise tous les jours. Mais qu’est-ce que tu peux bien lui trouver ? Je pensais qu’entre nous c’était sérieux, que tu m’aimais comme moi je t’aime.
— Mais je t’aime.
— Alors je ne comprends pas… On était bien tous les deux… Même…même dans la chambre… Oh, je comprends…Mon Dieu ne me dit pas que c’est cela…Elle te fait des trucs que je ne fais pas…Comment tu peux…
Marc n’a pas besoin de parler, Marie fait les questions et les réponses et elle a raison. Stéphanie est une maitresse très douée qui donne beaucoup de sa personne, ne refuse rien, mieux réalise les fantasmes qu’il trainait avec lui. Enfin certains…
Son silence est un aveu pour Marie. Elle le chasse. Il a beau lui dire que c’est elle qu’il aime, que cette femme c’est juste pour le sexe, l’affront est trop violent.
Marc vient de m’apprendre sa rupture. Mais le destin est farceur, car un mois après, j’apprends que je dois aller à Marseille pour débloquer un chantier. C’est ma spécialité "Monsieur catastrophe" on m’appelle.
Comment appelle-t-on le hasard lorsqu’il pousse le vice à se révéler ? Je ne sais pas mais je dirais qu’un dieu farceur et lubrique a guidé mes pas.
Marc m’avait parlé du ...
... quartier où vivait Marie, en particulier de son l’immeuble et j’avais même des photos. Mais pas plus, en tout cas pas assez pour que je trouve facilement. Pour la première fois, j’avais envie de voir vraiment un de mes correspondants. Le dimanche matin alors que je me balade dans ce coin, j’assiste à la sortie de la messe de la petite église de quartier. Et mon Dieu personnel, Dieu lubrique me met en face de Marie. C’est bien elle, enlevant ce fichu qui couvre sa tête. Je reconnais même la robe. Marc ne m’envoyait pas seulement des photos de Marie dénudée et au lit mais aussi en vrai amoureux de sa Marie, habillée pour sortir, en particulier lorsqu’elle se rendait à l’office. Cela m’avait amusé de voir sur les photos, un christ en croix accroché au-dessus du lit alors que le couple batifolait dans des positions autres que "la missionnaire".
Mon sang ne fait qu’un tour. Elle salue des connaissances et s’éloigne.
Je ne sais que faire ? L’aborder ? Oui mais comment justifier, surtout que maintenant aborder une femme dans la rue peut être très mal considéré. Je la suis donc, cherchant une idée. Elle arrive devant un immeuble dont elle franchit le porche. J’attends une minute et l’examen des boites aux lettres me confirme que c’est bien une Marie-Josée P…qui habite au troisième.
Je ne vais tout de même pas taper à sa porte et me présenter comme un correspondant de Marc, un correspondant qui sait tout d’elle.
Je traine dans sa rue. Il y a des commerces traditionnels, ...