Des voisins charmants (2) - Histoires de Sexe

Des voisins charmants (2)

... inexplicablement et ses mains glissent maintenant partout sur mon corps. L’alcool dans mes veines bloque toute lucidité et sans que je m’y attente nos bouches, puis nos langues se rencontrent. Il me plaque contre un mur et ses mains se font plus insistantes. A aucun moment je n’ai eu envie de l’arrêter. Il pousse la porte derrière nous. Et me voilà dans les toilettes des hommes toujours accrochée à la bouche de cet homme saoul à la perversion indiscutable. A peine a-t-il fermé la porte de la cabine de WC que je sens ses doigts s’immiscer en moi. Je gémis en glissant ma main dans son caleçon. L’alcool réveille une face de moi qui m’est encore inconnue et sans qu’il s’y attente je me retourne, appuie mes mains contre le mur collant et me frotte à son entrejambe. Il comprend le message. Baisse entièrement mon bas et mon string.

Il enfile rapidement un préservatif qu’il sort de sa poche et me prend brutalement. Ses gestes sont moins rapides que puissants, mais la brutalité dont il fait preuve m’excite au plus haut point. Mes cris se mêlent à la musique qui nous parvient de l’autre cote du mur. Sans prévenir l’inconnu quitte mon entrejambe, il s’agenouille, et, alors que je m’attendais à un cunni, il glisse sa bouche entre mes fesses. J’ai un hoquet de surprise mais le plaisir prend le dessus. Je sens sa langue qui joue avec mon anus, je découvre des sensations insoupçonnées. Soudain je sens un doigt se glisser en moi. Je m’attendais à de la douleur, mais au contraire mon ...

... plaisir s’intensifie, il fait de nombreux va-et-vient et rajoute un deuxième doigt dans mon anus. Je crie de plaisir, je suis essoufflée, transpirante, plaquée contre le mur des WC d’un bar glauque. Un élan de lucidité me ramène quelques secondes sur terre. Mais sans que j’aie le temps de m’y préparer il m’encule d’un coup sec.

Je ressens une légère douleur mais ces va-et-vient déclenchent finalement une nouvelle vague de plaisir, le rythme de nos bassins s’accélère. Je jouis avec une rapidité inhabituelle. Un orgasme puissant qui me fait trembler de haut en bas. Je me laisse glisser sur le sol. Il enlève rapidement son préservatif, attrape ma tête et colle mon visage contre sa verge encore en pleine action. Ses doigts tirent sur mes cheveux, j’ouvre ma bouche qu’il se met à baiser violemment. Je n’ai plus conscience de ce qui est en train de se passer, encore secouée par des spasmes de plaisir. Soudain les jets de son sperme atterrissent sur mon visage et dans ma bouche, dans une dernière poussée d’excitation j’avale ce qui se trouve dans ma bouche et vais même jusqu’à me lécher les lèvres.

Sans un regard de plus pour moi l’homme quitte les WC et ce n’est qu’à ce moment-là que je réalise que je suis assise à moitié nue dans des toilettes couverte de sperme, et étrangement, parfaitement satisfaite de ma fin de soirée.

Le lendemain. 10h00.

J’ouvre les yeux, des images affreuses me reviennent en mémoire. Je m’interroge sur leur véracité avant de réaliser que le lit dans ...