Le Beau Linge
Datte: 14/06/2019,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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Auteur: OlivierK, Source: Revebebe
... n’étaient pas serrés, elle aurait pu se délivrer rapidement si mon cœur, à force de battre trop vite, s’était soudain arrêté. De la neige restait au bord du chemin. J’en ai pris un peu entre mes mains et j’ai doucement, très doucement, caressé les seins et les cuisses de Sophie, qui m’a dit qu’elle voulait faire l’amour avec moi une dernière fois. Elle devait se marier le mois suivant… Je l’ai détachée, je l’ai portée dans mes bras – c’est bien ce que l’on fait pour les mariées, n’est-ce pas – jusqu’à une cabane de berger, pour que ses pauvres petits pieds ne souffrent pas du froid.
— C’est bien décidé, c’est irrévocable, m’a-t-elle demandé, tu ne quitteras pas ta femme pour moi ?
Je lui ai répondu qu’elle savait bien qu’il n’en avait jamais été question.
— Tu n’es pas un type très intéressant, a-t-elle conclu. C’est toi que ton vautour devrait dévorer. À commencer par ça, dès que ce sera sorti de mon gentil petit minou pour ne plus jamais y retourner, plus jamais.
— A-t-elle tenu parole ? demande Clotilde.
— Oui. Jusqu’à maintenant, du moins. Mais n’insultons pas l’avenir !
— C’est pourtant vrai que tu n’es pas un type très intéressant ! Moi, je ne vais rien raconter, je vais nous faire vivre une aventure. Voici les pizzas, il y en a deux. L’une d’elle comporte une fève. Celui ou celle qui l’aura fera ce qu’il ou elle voudra aux trois autres, pendant une heure. Bon appétit.
Aurélien mange sa part, le cœur battant. Il n’a pas la fève. Mais les autres non plus. ...
... La pizza finie, Clotilde avoue qu’elle leur a menti, pour les faire fantasmer.
— Si vous voulez, ajoute-t-elle, on peut danser. Mais sans enlever nos chemises. Christophe, remets-nous les blues.
Clotilde danse avec Christophe, la chemise soulevée, une main de son cavalier sur ses fesses.
— Fais comme lui, demande Maryse à Aurélien. Tu bandes fort, hein ?
Elle constate, une main sous sa chemise. Elle ajoute qu’elle est trempée.
— Tu peux vérifier.
Il vérifie, et approche sa bouche des lèvres de la jeune fille.
— Arrêtez d’être indécents, intervient Clotilde. Dans mes bras, Aurélien.
Elle lui murmure, collée contre lui, qu’il voit bien qu’il était inutile de lui parler d’amour, qu’on lui colle dans les bras la première fille venue, et qu’il la désire, ah ! il est bien comme les autres…
— Mais toi, alors !
— Moi je ne suis pas hypocrite comme toi.
Elle le repousse, et à voix haute, annonce qu’il convient de passer à la suite.
— Je vous ai menti tout à l’heure, à propos de la fève. Vous allez donc me punir. Je vais m’allonger, nue, sur mon lit, bras et chevilles écartés, comme si j’étais attachée. Vous me mettrez un foulard sur les yeux. Vous ferez de moi ce que vous voudrez, pendant un quart d’heure.
Le jeu n’est pas nouveau pour les jeunes : Christophe sait où est le foulard, mais c’est Maryse qui aveugle Clotilde, en lui donnant un léger baiser sur les lèvres, aussitôt après.
— Tout ce qu’on veut, hein ? Tout ce qu’on veut, tu as dit…
— ...