1. Le Beau Linge


    Datte: 14/06/2019, Catégories: 2couples, couple, couplus, sexshop, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, échange, jeu, sm, attache, yeuxbandés, orties, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... femmes. Sauf les femmes particulièrement sportives, évidemment.
    
    Les femmes sont désormais totalement nues, collées l’une contre l’autre, chacune a les deux mains sur les fesses de l’autre.
    
    — Ça va, les mecs ? demande Clotilde. Nous, ça va très très bien. On reste comme on est, ou on change ?
    
    Cependant, sans attendre de réponse, elle se sépare de sa partenaire.
    
    — Nous avons trois minutes pour les douches, pas plus. Toute personne en retard sera punie, enfermée dans un placard pour toute la nuit. Mais chacun dans son placard, si plusieurs sont en retard !
    
    Elle court vers sa chambre, suivie par Maryse. Quelles jolies fesses elle montrent, toutes deux, quand elles courent !
    
    — Dépêchons-nous, dit Thierry, Clo ne plaisantait pas. Allons ensemble sous la douche, ça ira plus vite.
    
    C’est la première fois qu’Aurélien prend une douche avec un autre homme. Ils se refilent le savon, se lavent convenablement partout, le gland décalotté. Christophe est peut-être un petit mieux monté qu’Aurélien. Il est aussi un peu plus grand.
    
    — Tu n’es pas mal foutu non plus, lui dit gentiment Thierry, qui a compris qu’il faisait des comparaisons. Maryse te plait ? ajoute-t-il. Elle m’a dit, quand elle dansait avec moi, qu’elle te trouvait tout à fait potable. Essuyons-nous en vitesse.
    
    Sur le lit d’Éric gisent deux chemises blanches, au grand col ouvert.
    
    — Des chemises grand-père, s’esclaffe Thierry. Maryse les a rapportées la semaine dernière. Je prends la plus ...
    ... longue.
    
    Elles sont amples, et descendent aux genoux. À l’origine, c’étaient des chemises de rude toile, que les ans et les lavages ont assouplies.
    
    L’horloge en fait foi : les trois minutes ne sont pas écoulées quand les hommes sont revenus dans le salon. Il ne reste que six secondes aux filles… Les voilà ! Elles portent aussi des chemises grand-père.
    
    Clotilde demande à Maryse si c’est bien à Lille qu’ils les ont trouvées, Éric et elle, la semaine précédente.
    
    — Oui. Sur un marché aux puces, pour une bouchée de pain. Éric t’a dit que nous avons fait une petite virée à Amsterdam ?
    — Bien sûr. Raconte l’expérience de la vitrine, pendant que je mets les pizzas dans le four.
    — Nous sommes allés dans le quartier où l’on trouve des femmes en vitrine. J’étais naturellement la seule fille, je veux dire la seule fille à être dehors. Éric a choisi une femme plutôt grosse et laide, nous sommes rentrés chez elle, elle a refermé la porte. Il lui a donné de l’argent pour qu’elle se retire dans une petite pièce, derrière sa vitrine. Elle avait déjà refermé son rideau.
    
    Il a enlevé ma robe, m’a laissée en sous-vêtements et m’a dit de prendre la place de la femme. Puis il a rejoint la grosse, derrière, et m’a demandé d’ouvrir le rideau. Les hommes s’arrêtaient, me reluquaient. Éric m’a ordonné de leur montrer mes seins. J’ai enlevé mon soutien-gorge.
    
    Se sentir convoitée par tous ces hommes, c’était… c’était troublant, mais je craignais qu’ils enfoncent la porte, parce qu’ils cherchaient à ...
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