1. Un fruit bien mûr


    Datte: 13/06/2019, Catégories: fh, fplusag, jeunes, cocus, gros(ses), grosseins, vacances, voiture, autostop, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Humour occasion, Auteur: Frank Leroux, Source: Revebebe

    ... reprîmes la route. La banquette de la camionnette était assez large pour trois passagers, mais nous étions tout de même un peu serrés. Je sentais sa cuisse contre la mienne, et j’avais du mal à regarder devant moi. Il me suffisait de baisser les yeux, un peu de biais, pour avoir une vue imprenable sur ses seins. Je crois que si elle s’était penchée un peu plus, j’aurais pu voir ses mamelons. Ses seins, sans être énormes, étaient généreux. L’épicier avait l’air ravi. Un peu avant le village, il tourna à droite et s’engagea dans le petit chemin du cimetière.
    
    — Un dernier truc à faire, puis je te dépose chez toi.
    
    Je savais bien que, passé le cimetière, le chemin finissait en cul-de-sac, dans un petit boisé. Il stationna la camionnette au bout du chemin et me dit :
    
    — J’en ai pour une dizaine de minutes.
    
    J’étais maintenant seul avec l’épicière. Elle avait une odeur fruitée. Ça peut sembler idiot, mais on aurait dit une odeur de melon…
    
    — Tu sais, si tu le veux, tu peux y regarder de plus près. Un garçon mignon comme toi, encore puceau à dix-neuf ans ! C’est trop triste. Nous allons arranger ça.
    
    Je n’arrivais pas à y croire. Elle me croyait vierge et elle voulait me dépuceler. Je n’allais quand même pas la décevoir. Elle se pencha vers moi et j’aperçus un mamelon. Un doux parfum montait de son corsage. Un parfum de framboise, je le jure ! Je bandais comme un cerf. Elle souleva son chandail et me présenta sa poitrine. Dieu, que c’était beau ! Deux globes ...
    ... magnifiques, bien remplis, avec des aréoles larges et foncées, et quelques vergetures qui leur donnaient un petit air « bio ».
    
    — Vas-y, je sais que tu en meurs d’envie.
    
    C’était vrai. Je plongeai ma tête entre ses seins. J’aurais voulu m’y noyer. Sous mes paumes, je sentais ses mamelons bien dressés. J’en attrapai un dans ma bouche. Je tétais comme un nourrisson, trop fort, à dessein.
    
    — Pas trop fort… C’est mieux comme ça… Continue, c’est trop bon…
    
    Ses doigts caressaient mes cheveux, pressaient ma tête contre sa poitrine. Je posai une main sur son genou, et remontai doucement sous sa jupe. Je tentai de glisser un doigt sous son slip.
    
    — Pas si vite, garnement. Laisse-moi un peu faire.
    
    Elle passa sa main entre mes jambes, s’attarda sur mes couilles, puis s’arrêta sur ma verge. Elle descendit ma braguette, défit l’attache de mon pantalon et me dit :
    
    — Soulève-toi un peu.
    
    Elle descendit mon pantalon, embrassa ma queue à travers mon slip qu’elle abaissa ensuite sur mes chevilles. Son visage était tout près de ma verge.
    
    — Qu’est-ce qu’elle est grosse, dit-elle. Tu es rudement bien équipé.
    
    C’était gentil, car, côté outillage, je suis tout à fait dans la moyenne. Mais l’évidente sincérité de son compliment et la chaleur de ses lèvres, qu’elle venait de poser sur mon gland, me firent gagner miraculeusement deux centimètres. D’une main, elle tenait la base de ma verge pendant que sa bouche coulissait de haut en bas. C’était trop bon – et, après tout, n’étais-je pas ...