Victor et Adrienne
Datte: 13/06/2019,
Catégories:
Première fois
Auteur: byValcour, Source: Literotica
... lumière, mais devant mon nez, ses fesses valsouillent. Elle est brune.
Et bien poussin, c'est gentil chez moi ! T'as pas trop l'habitude ?
La bite rude ?
J'avais pas compris, elle a un accent bizarre. Elle éclate d'un grand rire, et moi aussi, avec elle ! À poil qu'elle se fout en cinq secondes, me déloque, pique au passage quelques billets dans ma poche et me pousse au lavabo pour me rincer la bite. Faut dire qu'elle sentait le rance pisseux, mes branlées d'une semaine ! ... Je suis plutôt mou ! Elle me la savonne, et les roustons, et le doigt au trou. Ça vient ! Elle me pousse au pieu. Elle étale sa moule, rosâtre , et luisante au milieu des poils noirs. Y mettre la main ? Non ! elle me la repousse, la dirige sur ses nichons, faut dire qu'il y a de quoi s'occuper ! « T'en as une bien jolie mon poussin ! ... J'vais t'la bouffer ! » Elle me léchouille, me la manœuvre à la va-vite. Elle s'étale sur le dos, cuisses écartées. Les nichons s'écroulent, chacun d'un côté. « J'suis chaude ! ... Tu m'enfiles. » Elle me la dirige, c'est chaud, ça glisse bien ! Son ventre me la bouffe. Âcre odeur d'aisselles, ça m'excite ! et son souffle dans mon cou ... des relents de bière et de tabac. Malgré ça, je cherche à baisoter ses lèvres, c'est encore non ! Ma Zoé, où est-elle ? On se boufferait nos langues ! À fond dans le beurre, mon zob accélère ... Chaud dans la tête ! C'est parti, son ventre m'a sucé ma liqueur. Elle se lève aussi sec (si on peut dire), fonce à la cuvette, ...
... par terre, elle y trempe vaguement sa touffe noire, fendue rose ... comme si je l'avais salie. C'est fini. Elle remet un soutien-gorge crasseux, une robe courte sur ses fesses nues. « Et bien, poussin? T'attends le déluge pour te r'saper ? » Vague bisou expédié. Ce n'était pas l'infini, même pour un caniche ! Redescendre ... les marches grincent encore, nargueuses. C'était mieux à la montée. Les filles rigolent « Déjà ! » qu'elles se moquent, sales pétasses ! oOo
Tous on aimait bien l'infirmière, Madame Lambercier. Pour ses gros lolos valseurs, vaguement coincés dans un soutif noir, sous sa blouse transparente. En soignant nos bobos, elle les agitaient ses nichons ... ça l'amusait de nous voir bander pour elle. « T'es vif toi » qu'elle disait, en nous caressant les cuisses. Et elle nous congédiait avec un gros bisou appuyé sur le front, bien maternel ... comme à regret de n'avoir pas plus saignant à désinfecter.
Elle était chargée aussi d'administrer les punitions. En fin d'après-midi, elle faisait le tour des classes, en tailleur gris, comme pour la messe. On lui nommait les punis du jour. Ils devaient baisser eux-mêmes leurs culottes et dire pourquoi ils avaient mérité d'être punis. La première fois que j'ai été puni, on étaient deux.
Avec mon copain Marc, on avait été surpris avec des photos de filles nues, chattes rasées, qui se pissaient sur leurs jolies petites gueules de putes et se léchaient les moules, et les trou-duq ... Putain ! la langue en plein dedans, ...