Victor et Adrienne
Datte: 13/06/2019,
Catégories:
Première fois
Auteur: byValcour, Source: Literotica
... baisées, violées ... peut-être. Les murs n'ont gardé que les taches, pas les cris. Un piano ! ... pourri ... On frappe des touches, ça fait fuir un chat. Victor me montre un canapé défoncé rouge.
-- Si tu veux du fric, c'est l'bon truc !
Comprends pas !
Le mec, il s'assied, bite en l'air, tu lui suces. Tu palpes bien ses couilles, ils adorent ... Pour un bonus, tu lui fouillasses le cul, profond, trois doigts, bien sale ! ... Y reviendra ... sa pétasse lui fait pas tout ça !
J'ai les jambes en coton, les mots bloqués, la gorge nouée.
C'est pas encore l'heure, qu'il poursuit, tentateur, c'est qu'après huit heures que ça commence à défiler ... Des fois y'en a deux ou trois qui matent, en attendant leur tour. On peut l'faire à deux ... Y'a de la place. Tu m'le fais pour t'entraîner ?
Il s'affale, froc baissé, bite au garde à vous, gland décalotté, brillant de désir écarlate. Je gobe, ça bavoche, goût de pisse rance. J'y vais ... je léchouille. « Plus vite ! » J'accélère, ma langue bien tout autour ... surtout pas mordre, sinon grande baffe pour ma poire ! ... Il tient ma tête ... par les cheveux, m'enfonce sur son machin bandé raide. J'étouffe. Giclée puissante et drue. J'absorbe la sauce, il crie. Violent, son plaisir ! ... Ça colle à ma langue, c'est âcre ... gluant. Il me garde sur lui, putain, il est fort le con !... « Lèche bien tout! » Il reprend du souffle.
T'es un as !... Bien mieux qu'une gonzesse ! Ce soir, on l'fait ?
Je suis sonné. Qu'est-il ...
... arrivé ?
-- Non !
Demain alors ?
Je réponds rien, on rentre, en silence. Je rêvasse tout haut.
-- Elle est belle ta mère ! ... Et ton père ? je lui demande.
Il s'est barré ... avec une négresse en plus ! Ma mère elle s'embête pas, une vraie putain ! Ses deux ouvriers, y z'arrivent à quatre heures du mat. Quand ça lève, ou bien ça cuit, la fournée, elle propose « Vous montez pour un café ? » Les paye mal, plutôt en nature. Je les ai matés. Tous les jours, c'est pareil ! « Allez, culs nus les gonzes ! » Elle s'affale sur le canapé, écarte en grand ses grosses cuisses blanches, celluliteuses, salive ses doigts, se fouille à fond la grosse touffe noire ... poilue, un buisson, un nid à morpions ! Elle s'astique un bon moment. Les deux mecs bandent à crever. Elle jouit. Elle s'en fout si j'la r'garde. « À vous deux, j'suis chaude. » Ils l'enfilent ... à tour de rôle ... pistonnent sévère, à s'en écraser les couilles. Ça jouit, ça crie, ça m'remue les tripes. Au milieu de son mois, elle fait la chienne, elle présente son cul. « C'est le jour du petit serré! » qu'elle annonce. « Bourrez-moi fort ! Vous êtes pas des lavettes ! » Les gus la fessent rouge en même temps qu'ils ramonent ... à fond la bite.
Je suis raide à l'entendre raconter tout ça !
oOo
Le soir, dîner approximatif ... des œufs à la coque, pas bien cuits. Le jaune, c'est comme un gland maladif, et tout autour, c'est glaireux, comme la liqueur du zob de Victor. Rien d'autre à bouffer. Faudra que j'y ...