1. Victor et Adrienne


    Datte: 13/06/2019, Catégories: Première fois Auteur: byValcour, Source: Literotica

    ... une sœur, elle y serait passée !
    
    oOo
    
    On l'appelait Choupette, un blondin de ma classe, on lui parlait comme à une gonzesse. Il avait des beaux seins de fille qui lui poussaient, on lui maniait sa jolie petite viande, on lui pinçait les tétons.
    
    -- Choupette, ils ont encore poussé tes nichons !
    
    -- Non, c'est pas vrai ! Et puis c'est pas ma faute, c'est mormonal.
    
    Justement, Ferdinand va te la mormoner grandiose ! Cul nu, tout de suite !
    
    Il veut résister. On lui baisse le froc. Je branle sa zigounette, je lui pressure les roustignolles, des noisettes minables ! J'y vais pas mollo, qu'on me prenne pas pour une pédouze. C'est pas parce qu'avec Victor ... Sur le canapé rouge, c'est pour Zoé que ce sera !
    
    Le grand Simon va te cularder ... comme l'autre jour, à sec !
    
    Faut dire que Choupette, elle était pas pucelle du fion ! J'ai serré son gland, bien violacé qu'elle en pleurnichait. Il a fini par baver blanchâtre, son glandouillet. J'ai essuyé ma main dans ses cheveux. La Choupette, elle a couru en chaussettes, fesses nues et bite au vent, pour tenter de récupérer son slip et son pantalon. Ballochard, s'est bien marré, en sonnant la cloche.
    
    oOo
    
    Pepita, la femme de ménage, au collège, c'est une toute jeune. Elle parle pas bien le français. À trois quatre, on se la choppe, on la fout par terre, on lui tire la culotte et on lui fouillasse la chatte, bien vachement. Elle crie, on rigole, des fois elle pisse, comme si ça lui plaisait pas qu'on s'occupe ...
    ... d'elle !
    
    Si tu racontes ça, t'auras ton balai dans ce trou-là, bien à fond !
    
    Les fortes paroles, y a pas à dire, ça calme !
    
    oOo
    
    Rue du Sergent Destouches, mes premières suçades ! Pour Zoé ! Un type tout poilu. Il m'a coincé la tête pour que j'avale tout. J'ai failli dégueuler. « C'est l'métier qui rentre, en force ! » qu'il a dit Victor. C'est lui qui récupère le fric, il m'en donne la moitié, mais ça aide à nourrir mes vieux schnoques de parents. Un autre a demandé que je sois tout nu, il a sorti un billet de plus. « Il est trop mignon. Avec ses p'tites couilles sans un poil. Il bande bien en plus. » J'étais rouge. « Combien pour le papaouter ? » « Rien ! » j'ai crié, je voulais pas finir comme Choupette ! « Il est tout jeune, faut qu'il mûrisse ! Plus tard, on en reparlera. » Victor, ce malin, voulait faire monter le prix de mon cul !
    
    Un autre était surveillé par sa connasse de bonne femme. Une bourge, bien sapée. Tailleur gris perle, bas noirs. Des gants assortis. Elle tournait en rond, ses talons claquaient, nerveux, sur le plancher pourri. Ça nous gênait. « Je vais pisser », elle est sortie au jardin. Ça nous a calmés, j'ai fini le type en vitesse.
    
    Au retour, j'ai montré un petit billet à Violetta. Elle a tout de suite retroussé sa jupe. « C'est pour me tripoter, hein ? » Pour du fric, elles les écartent, toutes, pucelles, grenouilleuses ou saintes-nitouches. J'ai entrouvert ses mignonnes petites lèvres, pas un poil ! Et frotté son bouton minuscule. Elle a ...
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