1. Victor et Adrienne


    Datte: 13/06/2019, Catégories: Première fois Auteur: byValcour, Source: Literotica

    ... a compris. Choupette, gisant, nous rapproche.
    
    Ferdinand ! C'est gentil d'être venu. Et ces fleurs ! Merci, tu es le seul du collège à être venu ! Le quartier n'est pas sympathique. Et la vie, quel calvaire ! Valentin, il t'aimait bien, tu sais. Rentre chez toi, il est très tard ! Tu reviendras, un autre jour ? Promis ?
    
    Je promets. Elle m'embrasse au front. Bonne bouffée d'odeur de seins, de sueur, la nuit est très chaude. Dans ma tête, ses fesses, belles pièces de chair, et ses cuisses, émergeant des bas noirs, et la tache de vin ! Je sors, étourdi dans la nuit, je titube.
    
    oOo
    
    Mon père est en taule. Et pour longtemps. Il trafiquait louche avec le curé Mailiez, le patron d'une école de filles, dont les élèves avaient régulièrement besoin des services de médecins discrets. L'évêque est intervenu pour le curé. C'est ce que raconte à mi-voix gourmande la boulangère, d'un air vaguement offusqué. Je pensais pas que mon daron était capable d'autre chose que de pinter. Bien sûr, il s'est fait gauler, ce con.
    
    oOo
    
    Voilà que je rencontre Adrienne à la boulangerie. « Ferdinand, tu viendras ? Tu m'as promis ! » En robe d'été, légère, fleurie, transparente, on voit pas mal, on devine ! « Après tes cours ! -- Oui ! -- T'es un ange !»
    
    Elle m'attendait. Elle m'installe, elle m'enfonce dans un canapé. Elle apporte des gâteaux, s'assied tout contre moi, cuisse chaude, nichons libres comme des lapins, qui agitent leurs museaux bruns. J'écoute pas trop. « Oui, ça va bien au ...
    ... collège. -- Et l'affaire du curé Mailiez? Et ton père ? -- Il s'est fait poirer. -- On en parle peu. L'évêque a fait étouffer l'affaire. » Elle voit bien que je suis distrait. Je pense à la tache de vin, cachée, juste au-dessus des bas noirs de l'autre jour. Ses jambes nues sont collées aux miennes, carrément, jolis mollets ronds, épaules découvertes ... et son parfum fleuri ! Choupette est loin, partie dans l'oubli. D'une voix sourde :
    
    Ferdinand, tu penses à quoi ?
    
    Elle pose un bras sur mes épaules, elle tâte ma braguette, elle glousse, comme Violetta quand je la chatouille sous la jupe. Elle pose ma main sur sa cuisse fraîche, me la monte sous sa robe. C'est doux, c'est chaud, mes oreilles brûlent ... Elle murmure « Ferdinand, t'as déjà léché une femme ? T'as pas envie d'essayer ? J'vois bien qu'si !» Elle me déboutonne, me la sort toute raide et baveuse. Elle remonte sa robe jusque sous les nichons, baisse culotte, écarte en grand les cuisses. La tache de vin, c'est un secret qu'elle m'a confié ! Merci Bon Dieu ... pour une fois ! Elle m'ouvre sa moule, des pétales roses, violacés sur les bords, ça pendouille un peu en dehors, de la chair luisante au milieu d'un fouillis frisé noir, une vraie fourrure de caniche.
    
    Elle m'agenouille, c'est comme à la maison rue Destouches, le visage enfoui dans ses poils moites. Ça sent bon la pisse, c'est un peu sucré, pas comme les glands des types sur le canapé rouge. Son gros bouton sous ma langue, je l'enveloppe, je l'écrase, ...
«12...101112...»