La Condamnée
Datte: 12/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byZIONI, Source: Literotica
... et les bijoux, passons à la coiffure, me dit Madame Olga avec un sourire sadique. Une saleté comme toi, ça doit avoir plein de poux!
Assise sur un tabouret, on me coupa les cheveux avec des ciseaux. Les mèches tombaient sur mon corps et sur le sol, mêlées à mes larmes de rage et de honte. Le gardien s'empara alors d'un rasoir électrique et me tondit le sommet du crâne, laissant les côtés garnis comme un homme atteint de calvitie. Il ramassa deux mèches au sol et me les enfonça dans les narines puis me promena sur toute la scène pour que tout le monde puisse bien se moquer et me prendre en photo.
Il reprit son travail et en quelques passages, ma tête fut aussi lisse qu'un œuf. Nouvel intermède pour bien me soumettre aux moqueries de la salle...
Jamais, même dans mes rêves les plus pervertis, je n'avais pensé à une telle humiliation. J'en savourais autant que j'en haïssais chaque moment.
Mon excitation était à son comble. Et la vision de mon ex-secrétaire au 1er rang vint encore l'augmenter.
- Si tu te voyais avec ton crâne d'œuf ; tu es toute belle, ma salope, crois-moi!!! me lança-t-elle, hilare.
Je voulus bondir au-devant de la scène pour lui cracher dessus mais mes deux gardiens me rouèrent de coups. Ils me firent rejoindre mon tabouret en rampant, s'acharnant sur moi à grands coups de pieds.
- Par mesure symbolique mais aussi pour qu'une telle criminelle ne puisse enfanter d'autres déviants comme elle, la condamnée aura le sexe fermé, expliqua la ...
... fonctionnaire à la foule.
- Noooon, nooon, pas ça, pitié, pitié Madame!!! hurlai-je en vain.
Maintenue fermement par un des gardiens, le second et Madame Olga me percèrent les grandes lèvres avec un poinçon chauffé à blanc et je fus fermée par un lourd anneau de métal. Je m'évanouis presque, foudroyée par la brulure fulgurante mais je subis vaillamment ce 1er supplice.
- T'inquiète pas, sac à foutre, il te reste ta bouche et ton trou de cul, me rassura Madame Olga.
Nue, enchaînée, la tête rasée, mes mamelles et
mes fesses exposées à tous, le sexe distendu par l'anneau, j'étais devenue une sorte de bête curieuse et mon sort devait en effet faire réfléchir et se tenir tranquille la population. Les nouvelles lois de l'administration pénitentiaire avaient donné naissance à des artistes de l'humiliation comme Madame Olga...
Pourtant je n'avais plus qu'un désir, vivre ma nouvelle vie d'esclave et me soumettre de la plus honteuse des façons. Malgré l'anneau qui me fermait le sexe, la cyprine coulait sur l'intérieur de mes cuisses, ce que pouvaient voir les spectateurs des 1ers rangs.
- Il faut encore te vermifuger ; tu ne voudrais tout de même pas infester toute la prison avec tes puces, non?!!! me dit-elle. Allez, au pied, saloperie!!!
Je me jetai à genoux devant Madame Olga, attendant ses ordres.
- Ta face de truie par terre, ton gros cul bien relevé, sous-merde!!! Et écarte tes fesses avec tes mains!
Je fis ce qu'on m'avait ordonné. Sur un geste de la ...