La Condamnée
Datte: 12/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byZIONI, Source: Literotica
... ma gorge ; j'adorais le regarder en lui offrant ma bouche pendant qu'il me crachait dessus et m'insultait. Il jouissait en longs jets salés et acres et j'avalais sa semence jusqu'à la dernière goutte. Après avoir nettoyé son sexe avec ma langue, il me battait à coups de poings et de pieds ou me cinglait les fesses et les seins à coups de ceinture. D'autres fois, il m'attachait au lit les mains au-dessus de la tête et appelait un room service. Lorsque le garçon d'étage entrait, il me trouvait enchaînée nue sur le lit, les seins et les fesses striés des zébrures des coups de ceinture. Il lui demandait alors de m'enculer sans aucune forme de respect. Après avoir remercié le garçon d'étage, je devais lui nettoyer le sexe avec ma langue en m'excusant « que mon gros cul de poufiasse soit plein de merde ». Après quoi, mon amant black prenait mon portefeuille et lui donnait un pourboire princier.
Quand mon mari partait en voyage d'affaires, je participais à des soirées dans des clubs SM très fermés où on me vendait comme esclave pour quelques jours.
J'adorais l'humiliation d'être ainsi exposée et palpée comme du bétail. Tenue en laisse par une dominatrice toute vêtue de cuir, je montais sur scène, nue enchaînée les mains derrière le dos, des fers à mes chevilles avec une lourde chaîne les reliant, sous les moqueries du public. Je me tenais fièrement, cambrée, toisant les acheteurs qui venaient soupeser mes seins, mes fesses et explorer mes trois orifices de leurs mains. Pour ...
... faire monter les enchères, ma dominatrice me forçait à danser de façon obscène à coups de cravache. Les chaînes me faisaient souvent tomber pour le plus grand plaisir des spectateurs qui voyaient mes seins s'écraser sur le plancher rugueux de la scène.
La honte, l'humiliation, les moqueries du public me procuraient une excitation incroyable. Une fois vendue, ma dominatrice m'ordonnait de me mettre à genoux et lorsque mon acheteur montait sur scène, je baisais humblement les pieds de mon nouveau maître tandis qu'elle me cravachait les fesses. C'était tellement intense que je jouissais parfois sur scène, dans de longs râles entre deux léchages de semelles.
Mon propriétaire temporaire m'emmenait alors en laisse pour plusieurs jours d'esclavage sexuel ou je mettais toute ma science et ma sensualité pour satisfaire ces hommes parfois répugnants. Parfois aussi des femmes m'achetaient, c'étaient de loin les plus sadiques et les plus imaginatives.
Mais tous ces plaisirs ne durèrent qu'un temps et je rêvais à présent de bien plus.
Je voulais que ma déchéance soit totale et permanente ; les petites séances d'un soir ne me comblaient plus. Je rêvais d'esclavage réel, devant tout le monde, sans possibilité de faire marche arrière.
Assise dans mon grand bureau directorial au 50e étage de l'immeuble GRR&R ltd, je rêvassais, distraite, l'ennui s'étant installé profondément dans ma vie.
J'avais lu sur internet des récits où des femmes étaient punies des travaux forcés sur une ...