La Condamnée
Datte: 12/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byZIONI, Source: Literotica
... gros rochers sous les coups de fouet des gardiens. Beaucoup de ces femmes étaient des criminelles de basse classe, des noires mais il y avait aussi quelques blanches dans cette prison. Je me demandais si je serais capable d'endurer de telles conditions, de devenir une de ces esclaves. Mais en fait, depuis plusieurs mois, je savais que je voulais définitivement quitter cette vie ennuyeuse et banale...
J'avais échafaudé un plan fou dans lequel je me dénoncerais moi-même à mon Conseil d'Administration pour me faire condamner. Il y a des années, j'avais en effet profité d'une erreur pour détourner une grosse somme d'argent. J'en éprouvais un sentiment de culpabilité obsédant et des remords me faisaient souvent me réveiller en sueur au milieu de la nuit. Plusieurs fois,
j'avais préparé un courriel avec un fichier contenant toutes les preuves, à envoyer aux administrateurs. Mon doigt avait caressé la touche « envoyer » mille fois mais je n'avais pas osé le faire ; comme le suicidaire qui n'ose pas appuyer sur la gâchette. Tout le dossier fraude était caché soigneusement dans ma mallette.
J'hésitais, pesant ma vie luxueuse, puis me voyant nue, couverte de chaînes devant tout le monde comme je le désirais tant.
La journée avait passé rapidement et je fus surprise par l'entrée de Lillian et de son fils, Kevin, 18 ans mais paressant 15, rouquin boutonneux, quasi obèse, avec son regard porcin et ses airs de puceau. Il me regardait toujours avec une envie malsaine, ce ...
... petit vicieux. Et aujourd'hui, je vis que ma robe noire lui faisait de l'effet : très moulante, avec un décolleté profond découvrant mes seins presque jusqu'aux aréoles, elle était aussi très courte et il remarqua vite la lisière noire de mes bas. Je croisai mes jambes et il eut brièvement une vision de mon porte-jarretelles. Mais assez joué...
- Lillian, terminez le rapport dans le bureau annexe et mettez Kevin dans la salle de réunion à côté du mien, sinon les vigiles de cette nuit prendront votre crétin de fils pour un cambrioleur!
- Oui, Madame Endersson, tout de suite, Madame Endersson.
Il était tard et je fermai la porte séparant mon bureau et celui de ma secrétaire pour me replonger dans ce reportage sur cette prison aux conditions très dures. Les gardiens, des blacks pour la plupart, avaient l'air de brutes épaisses et en les voyant maltraiter leurs prisonnières, je m'imaginais entre leurs mains, hurlant sous le fouet ou les satisfaisant avec ma bouche, réduite en esclavage, couverte de sueur et de poussière, cassant des cailloux le long d'une route devant les habitants de l'endroit...
Les images tournaient dans ma tête et je recommençai à me masturber, lentement. De mon autre main, je caressais mes tétons emprisonnés dans ma robe si moulante. Je décidai de l'enlever et je me mis nue, avec mon porte-jarretelles, jambes écartées sur mon fauteuil, une main massant mon clitoris, l'autre mes seins.
J'étais proche de l'orgasme quand j'entendis derrière moi un ...