La Condamnée
Datte: 12/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byZIONI, Source: Literotica
... discussion avec la fonctionnaire, mon ex-chauffeur opta pour me donner 10 coups de règle sur les seins. On lui donna une latte plate en métal souple de 60 cm qu'il tapota d'une main sur l'autre puis Monsieur René me la mit sous le menton pour me relever le visage et me dit :
- Les coupables comme toi ont besoin d'une bonne raclée ; tu vas voir ce que tu vas prendre, directrice de mes fesses, connasse! Quand je pense à toutes les fois où je t'ouvrais respectueusement la porte de la voiture et jamais un merci!!! Ben maintenant, tu vas me remercier de t'avoir battue, hein, t'as compris, tête d'œuf?!!!
J'écoutai à genoux les paroles de mon bourreau et je le regardai droit dans les yeux alors qu'à 10 reprises, il abattait sa règle sur mes seins.
Après quelques coups, je hurlais sans retenue et lui me frappait de plus en plus fort, faisant bondir mes seins de façon obscène, pour le plus grand plaisir des 300 spectateurs.
- Flaccc!!! Aaaaaahhhh!!!! Flacccc!!! Rhaaaahh... oui, Monsieur René.... Flaccc!!!! Aaaaarrhh!!! Aaaah, Monsieur...Flac, flac, claccc!!!!! Aaaah...hhh...Monsieur René, oh, oui, rhaaah...aaaahhh!!! sanglotai-je.
Mes seins striés de marques rouges avaient presque doublé de volume sous les coups. Cette brute avait une force hors du commun. J'étais à ses pieds, vaincue... Je le remerciai en lui baisant longuement les pieds sous l'œil amusé de mes gardiens. Il redescendit de la scène sous les applaudissements de mes ex-employés.
Allez, feignasse, ...
... lève-toi, il est temps de partir ; on t'attend à la prison! m'ordonna Madame Olga.
Je me relevai avec difficulté, empalée par mon godemiché, mes seins et mon sexe piercé me faisant souffrir mille douleurs. Pendant qu'elle me mettait en laisse, Madame Olga me fit remarquer :
- Avec la cloche à ton gros cul de salope et tes gros pis, tu as de plus en plus l'air d'une vache!
- Oui, Madame, je ne suis plus qu'une bête de somme et on va m'utiliser comme telle. Une condamnée aux travaux forcés ne doit plus ressembler à une femme mais simplement accepter son sort d'esclave. J'ai hâte d'être mise au travail et de payer ma dette envers la société le restant de mes jours. J'espère qu'on sera très sévère avec moi, lui répondis-je.
- Eh bien, voilà déjà un bon début! Allez, hue, bourrique! rigola-t-elle. Puis, s'adressant à la salle : Votre Directrice vous quitte ; elle a trouvé du travail chez un nouvel employeur ; je suis certaine qu'elle a obtenu de meilleures conditions, ha, ha, ha!!! Mais elle va descendre vous faire ses adieux ; vous pourrez la féliciter comme il se doit!!!
En laisse derrière la fonctionnaire, nous descendîmes nous frayer un passage à travers une haie d'honneur improvisée par les employés. Les gardiens qui me suivaient ne faisaient rien pour me protéger des gifles, des crachats, des pincements, que m'infligeaient mes anciens employés.
Ding, dilling, tintait la cloche honteuse qui pendait entre mes fesses pour me ridiculiser à chaque pas.
- Houuu, ...