1. La « Lancenoir » (9)


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... avaler leur jus...
    
    — Mais je ne veux pas que des noirs lui fourrent la bite dans sa bouche !
    
    — Allons, calmez-vous... Votre fille, elle fréquente beaucoup de noir ?
    
    — Euh... non.
    
    — Alors vous voyez, elle ne verra pas beaucoup de nos bites. D’ailleurs en parlant de ça. Il se trouve que je suis en train de bander, et que j’ai besoin de la chatte de votre fille pour me vider les couilles. Alors si vous voulez bien nous excuser, je dois aller dans votre chambre pour bourrer votre fille bien à fond. Quand j’aurai fini, j’espère que vous serez assez gentil pour nous avoir préparé une collation.»
    
    Amadou prit Léa par la main et la mena en haut des escaliers jusque dans la chambre. En bas, les parents restaient les yeux exorbités, comme hallucinés par l’audace et le sans-gène de leur invité. Puis, quelques minutes plus tard, ils entendirent les cris de jouissance de leur fille, il ne faisait aucun doute qu’elle se faisait ramoner, et sauvagement. Ce n’était pas des petits cris polis que Léa laissait échapper quand riait après une blague, mais des cris d’extase qu’elle était incapable de contrôler. À chaque fois que l’énorme mandrin pénétrait en elle, elle n’avait pas d’autre choix que de hurler en extase.
    
    Les deux parents n’osèrent pas se regarder. Jean parce qu’il avait ...
    ... honte de laisser sa fille se faire baiser sous son toit par un individu aussi odieux, pour ne pas dire plus. Quant à Hélène, si elle n’était pas non plus très fière de laisser sa fille se laisser bourrer par le grand noir, ce qui lui faisait baisser les yeux est qu’elle entendait le pied que prenait sa fille, et qu’elle se demandait quand pour la dernière fois elle avait pu ressentir de tels orgasmes... Elle était sûre d’une chose, c’est que ce n’était jamais arrivé depuis son mariage avec Jean.
    
    Lorsque les deux amants eurent fini leur affaire, ils redescendirent prendre leur dîner. Alors qu’une heure plus tôt les parents fourmillaient d’objections quant à la tenue de traînée de Léa, ils ne trouvaient maintenant plus rien à dire. Ils commençaient à intérioriser que leur fille était devenue la captive volontaire du grand noir, et que peu importe ce qu’ils diraient, rien ne pourrait changer cet état de fait.
    
    Le repas se passa donc calmement. Seule la petite sœur, Lucie, ne put presque rien manger. Elle regardait scandalisée les habits outranciers que Léa portait. Et elle était encore plus choquée de voir la main d’Amadou constamment la main fourrée dans la chatte de sa sœur... Le pire était que cette dernière n’arrêtait pas de gémir sous la pression des longs doigts du noir. 
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