1. La « Lancenoir » (9)


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... première impression que donnait Léa était que si une chose la branchait, c’était les bites bien dures.
    
    Qu’est-ce que cela signifiait ?
    
    « Réponds-nous ! Qu’est-ce qui s’est passé ? demandaient les parents »
    
    Léa réfléchit quelques secondes pour trouver la meilleure explication quant à son changement radical d’approche vestimentaire.
    
    « Eh bien... C’est que mes anciens habits ne reflétaient plus tout à fait ce que j’étais... »
    
    Léa, hésita encore, elle avait bien conscience de ce que reflétaient ces habits actuels... et cela signifiait qu’elle était la pute d’Amadou. Mais elle tenta de se raccrocher aux arguments que le grand noir avait avancés pour justifier son changement de look :
    
    « C’est l’usage africain papa. Il faut s’habiller très court. C’est important, très traditionnel.
    
    — Mais on n’est pas en Afrique ici !
    
    — Et alors vous avez peur qu’elle prenne froid ? demanda Amadou.
    
    — Eh bien... Oui ! déjà !
    
    — Pour ça, rassurez-vous, avec moi elle n’a jamais froid, c’est pas vrai ?
    
    — Oui.
    
    — Ne soit pas timide, raconte-lui.
    
    — C’est que je suis toujours chaude quand il est près de moi, je suis une vraie chaudière...
    
    — Continue.
    
    — J’ai la chatte en feu, j’ai tellement besoin qu’il me lime... »
    
    Amadou sourit, le dressage commençait à faire effet. Il était aussi satisfait que Léa avoue à quel point elle était accroc à son gigantesque phallus et il entra un peu plus dans les détails concernant la tenue de sa soumise :
    
    « Tant que Léa ...
    ... serait candidate pour intégrer la "lancenoir" elle devra se vêtir en conformité avec nos us et coutumes.
    
    — Vos "us et coutumes" ? s’indigna Jean. Elle est habillée comme une pute ! Et même une pute porte plus de vêtements ! J’interdis qu’elle sorte de la maison tant qu’elle aura ce genre de... d’accoutrement ridicule sur elle !
    
    — Ridicule ? répondit Amadou. J’ai pris le plus grand soin pour choisir ce qui lui irait le mieux. Je crois qu’elle est même beaucoup plus regardable maintenant que lorsqu’elle avait ses vêtements de privilégiée blanche.
    
    — Elle n’avait pas... c’est absurde ! Et puis personne ne s’habille comme ça !
    
    — Je dois avouer que je lui ai fait une fleur. D’ordinaire ce sont les mères qui doivent concevoir les habits de leur fille. Mais comme Madame n’est sans doute pas une couturière assez experte... Après tout, on ne pas demander à une blanche de savoir faire grand-chose d’utile. Alors j’ai pris sur moi de choisir de quoi lui mettre quelque chose sur le dos. Vous ne voudriez quand même pas qu’elle se balade à poil.
    
    — Quoi ! non !
    
    — Alors vous vous voyez bien, au fond nous sommes d’accord, j’ai bien fait de lui choisir des vêtements.
    
    — Mais... et... ça ! C’est quoi ! »
    
    Hélène venait de voir la marque au fer rouge incruster juste au-dessus de la cheville de sa fille.
    
    « Tu as un tatouage ! »
    
    Il ne lui vint pas encore à l’esprit qu’on ait pu marquer sa fille au fer rouge comme on le faisait avec du bétail. Une marque indélébile et ...