Une Famille Prise En Otage
Datte: 11/06/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byGerald F., Source: Literotica
... regarda marcher vers elle, en la fixant droit dans les yeux, jusqu'à ce que le canon de son arme effleure sa poitrine.
« Ouvre la bouche »
Elle obéit, tandis que l'homme approchait son visage du sien et lui prenait le menton.
« Tu as intérêt à répondre... Pour toi et tes enfants. »
Les lèvres du bandit se plaquèrent sur les siennes, sa langue commença à fouiller sa bouche. Obéissante, elle répondit avec la sienne, pendant que la main lâchait son menton et allait pétrir son sein droit, puis son sein gauche. L'agresseur s'écarta légèrement, un rictus satisfait aux lèvres.
« Déshabille-toi. »
Les larmes aux yeux, Eva défit son chemisier, puis sa jupe. Elle pria pour que l'homme fasse vite, sans la brutaliser, et pour que ses enfants n'en sachent rien. Les vêtements glissèrent à ses pieds.
« Enlève juste ton slip et ton soutien-gorge. Tu peux garder tes bas et ton porte-jarretelles. Garde tes chaussures aussi. »
Elle obéit. L'homme prit plaisir à la laisser un moment devant lui, debout et humiliée. Se rapprochant à nouveau, il effleura de la main les seins et le ventre nus, puis ordonna :
« Mets-toi à genoux. »
Il ne détournait pas son revolver, et Eva sentit le canon de l'arme lui effleurer les cheveux. Sur les indications de l'homme, elle défit sa braguette, en sortit son sexe, le prit dans sa bouche. Elle s'activa des lèvres et de la langue, caressant même les testicules et la base de la verge du bout de ses doigts, espérant que l'homme ...
... éjaculerait le plus vite possible et que ce serait fini. Mais son agresseur n'avait pas l'intention de l'épargner.
« Ah, tu suces sacrément bien! Va te coucher sur le comptoir, cuisses écartées. »
En se retenant de fondre en larmes, elle retira sa bouche et, les yeux baissés, alla s'étendre sur le comptoir où elle avait tant de fois accueilli ses clients. L'homme écarta ses cuisses gainées de bas, posa la main sur sa fente, l'ouvrit largement. Elle essaya vainement de se détendre, mais ne put retenir un cri de douleur lorsqu'il se coucha sur elle et s'enfonça d'un coup dans son sexe contracté. Il commença à la pilonner sans ménagement ; elle ferma les yeux pour ne pas voir son visage à quelques centimètres du sien, semblant ricaner des gémissements étouffés qu'elle poussait à chaque coup de bélier.
« Regarde-moi! »
L'extrémité du revolver s'enfonça sous son menton.
« Ouvre les yeux! Regarde ce que je suis en train de te faire! »
Elle dut ouvrir les paupières et subir à nouveau, devant ses yeux qui s'embuaient de larmes, le visage de l'homme qui s'agitait au rythme du viol, la montée du plaisir sur ses traits. Lorsqu'il éjacula en elle, elle ne put s'empêcher de renverser la tête en arrière avec un long râle de dégoût et d'humiliation.
L'homme se relevait et se rajustait, la laissant pantelante sur le comptoir.
« Rhabille-toi, on repart. Non, pas le slip ni le soutien-gorge, laisse-les là. Remets juste tes vêtements de dessus. »
Elle suivit l'homme dans la ...