1. Une Famille Prise En Otage


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byGerald F., Source: Literotica

    « Lève-toi! »
    
    Eva se réveilla en sursaut, pour trouver la chambre éclairée, et le canon d'un revolver braqué sur sa tempe. Cette belle femme de quarante-cinq ans, divorcée et mère de deux grands enfants, qui gérait avec efficacité la bijouterie familiale, savait que son entreprise risquait d'attirer les voleurs. Mais elle ne s'attendait pas à ce qu'une nuit ils viennent la prendre en otage chez elle.
    
    Elle se leva, essayant d'ignorer le regard du gangster sur sa chemise de nuit translucide, qui laissait deviner les pointes larges et brunes de ses seins et l'abondante toison de son bas-ventre. Juste à ce moment, deux hommes également armés entrèrent dans la chambre, poussant devant eux ses deux enfants : Jérémy, vingt ans, et Christelle, dix-huit ans, en vêtements de nuit, les mains attachées derrière le dos. Christelle jeta un regard terrifié à sa mère, qui la serra dans ses bras en essayant de la rassurer.
    
    « Tout va aller bien, ma chérie. »
    
    « Sûr, tout va aller bien, » affirma l'homme qui avait menacé Eva. « Voilà ce qu'on va faire : mes deux copains restent ici avec tes enfants, pendant ce temps toi et moi nous allons à ta bijouterie, je prends ce que j'ai à prendre, on revient ici, je reprends mes potes et je m'en vais. Durée prévue : une heure. Ca te convient? Bon, on y va. Habille-toi. »
    
    Eva prit sa jupe et son chemisier sur une chaise, et se prépara à les enfiler.
    
    « Non, » ricana le chef des bandits, « on n'est quand même pas pressés au point que tu ...
    ... mettes tes fringues par-dessus ta chemise de nuit! Allez, enlève-la. »
    
    Eva obéit en baissant les yeux, humiliée par les regards des hommes et par ceux de ses enfants. La femme nue sentit les yeux des bandits collés à ses gros seins encore fermes, à son ventre toujours plat et à ses cuisses parfaites. La veille, elle avait mis des bas et un porte-jarretelles, qui étaient toujours posés sur une chaise. Elle hésita une seconde, puis les enfila, mit son slip, son soutien-gorge, son chemisier et sa jupe, puis chaussa ses escarpins à hauts talons. Les regards concupiscents des trois hommes lui donnèrent l'impression de leur offrir un strip-tease à l'envers.
    
    « Allez, on y va. »
    
    Avec un dernier regard d'encouragement à ses enfants, que les bandits avaient fait asseoir sur un divan dans le salon, elle sortit escortée du chef qui gardait son revolver dissimulé sous son blouson. Ils prirent sa voiture pour rouler, dans les rues désertes à cette heure de la nuit, jusqu'à la bijouterie. Eva ne fit aucune difficulté pour indiquer à l'homme le code de l'alarme, et la combinaison du coffre. La bijouterie était assurée ; ce qui importait était de protéger ses enfants et de préserver sa propre vie.
    
    L'homme remplit une valise des bijoux les plus précieux, puis promena son regard autour de la pièce.
    
    « Il me reste quelque chose à prendre » dit-il.
    
    Au sourire féroce avec lequel il la regardait, le revolver pointé vers elle, Eva comprit ce qu'il voulait dire. La gorge nouée, elle le ...
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