1. Et Dieu créa la chienne (2)


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Christalship, Source: Xstory

    Chapitre 2 : les prémisses de la luxure
    
    Vincent et Annabel étaient sur le pas de porte, prêts à partir pour leur week-end d’anniversaire. Après les dernières recommandations à la nounou et aux enfants, ils s’installèrent dans la voiture de sport de Vincent, prêts à profiter de ces deux nuits que Vincent avait réservées.
    
    Annabel se réjouissait de découvrir l’endroit choisi par son mari pour fêter leurs 15 ans de mariage. Elle s’était - pour l’occasion - achetée une petite robe légère qui lui arrivait juste au-dessus des genoux. Confortable pour le voyage, et suffisamment sexy pour l’occasion.
    
    Annabel adorait ces moments passés avec son mari, car elle pouvait se libérer de son rôle de mère, des soucis du travail, et profiter tout simplement de la vie. Elle aimait aussi ces épisodes de sa vie hors du temps et des préoccupations du quotidien, car ils regorgeaient de surprises. Annabel se remémora leur dernière escapade, où, ivre de vin, elle avait été virilement prise par Vincent, qui avait fait preuve d’une audace particulière... où n’était-ce pas Vincent ? L’idée lui fit ressentir un frisson d’excitation, qui la traversa et disparut aussi rapidement qu’il était apparu.
    
    Enjoués, les deux époux discutèrent de tout et de rien durant à peu près la moitié du trajet, avant que Vincent ne suggère de s’arrêter sur une aire d’autoroute pour se dégourdir les jambes et passer aux toilettes.
    
    Pour Vincent, hors de question de s’arrêter sur grandes aires, bondées de voyageurs ...
    ... et souvent crasseuses. Il préférait les petites haltes, sur des aires souvent boisées et calmes. Après quelques minutes, ils virent le panneau annonçant ce qu’ils attendaient. Vincent parqua la voiture et remarqua deux autres véhicules. Il sortit du véhicule et se dirigea vers les toilettes. Annabel en fit de même.
    
    Annabel entra dans la partie réservée aux femmes. Sur les trois cabinets, un était si sale qu’inutilisable, celui du milieu était visiblement occupé de sorte qu’Annabel se dirigea vers le dernier, en face de l’entrée, qui était le seul libre.
    
    A peine sa porte verrouillée, Annabel entendit des bruits, provenant de la cabine d’à côté. Au départ, il s’agissait de discrets frottements de tissus. Puis les bruits se firent plus soutenus. Annabel, gênée, comprit rapidement que des gens étaient en pleins ébats à côté d’elle. Elle se racla la gorge bruyamment pour manifester sa présence. Les bruits s’arrêtèrent, suivis de quelques chuchotements incompréhensibles. Annabel entendit alors un gémissement féminin, puis le son caractéristique de deux corps qui s’entrechoquent. Non seulement ils l’avaient entendue, mais cette idée avait l’air de les avoir échaudés de plus belle. Annabel ressentit une certaine excitation à l’idée d’assister aveuglément à ces ébats. La cadence s’accentua, les gémissements aussi. Annabel ne pouvait pas se mentir, elle mouillait. Elle s’imagina être elle-même à la place du couple, se faisant baiser fougueusement. Ses idées dérapèrent. Ce n’était ...
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