1. Une passe ? Je trépasse.


    Datte: 03/03/2018, Catégories: fh, hh, hplusag, prost, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, confession, Humour Auteur: Alexina, Source: Revebebe

    ... ma main, ma propre main privée de ma propre volonté, ma main mue par celle de la bête qui sommeille en moi, amerrit sur sa peau, entre son aine et le liséré sombre de son bas… Et mes doigts me rapportent l’histoire de la douceur inouïe, inimaginable de sa peau, une douceur tellement duvetée, tellement chaude et lisse que ma main se met d’elle-même, comme un esquif naufragé livré à lui-même, à naviguer sur cette mer étale de chair en velours. Elle suit l’aber qui remonte de son ventre à sa gorge… Ses seins menus, nerveux, dardent leur rude téton marron, érigé comme un phare miniature, cerné d’une corolle plissée presque aussi sombre. Je ne peux m’empêcher de les toucher : je tâte, j’explore, je découvre, pareil à un élève emprunté, méticuleux, maladroit… La nymphe étendue ne dit rien, ne soupire pas. Je m’enthousiasme, elle gît. Je crains presque d’être un anti Pygmalion : mes caresses vont-elles pétrifier de nouveau Galathée ? Non, car elle bouge, ses doigts se sont doucement refermés sur ma queue, vivants chauds et taquins !… Ils montent et descendent en un rythme lent mais très convaincant… et aussitôt, ma bite s’exalte dans la capote… Elle gonfle encore, la prétentieuse. Elle se prendrait pour un spi, bientôt ! Je crois que je suis en train de redresser la barre et, pour le coup, de gagner le bon cap !
    
    Je me suis hasardé à pinçoter ses mamelons, oh ! très gentiment… timidement même… Or ce simple geste, comme un sésame, a provoqué l’ouverture des longues cuisses de ma ...
    ... Némésis. Et, dans le même temps, sa main chaste – celle qui couvrait… couvait ? – son pubis, vient se poser avec légèreté sur ma nuque :
    
    — Tu peux sucer mes seins aussi, me susurre-t-elle. (Cette réplique ressemble furieusement à l’offre d’un privilège… un cadeau de la maison, en somme !)
    
    Je ne me fais pas prier et mes lèvres mutines butinent aussitôt un mamelon au goût de… mamelon ! Quoi ? Ce n’est pas original ?… C’est le premier mamelon que je déguste… je ne vais pas inventer une saveur « mentholée ou vanillée ou réglissée ! » pour faire plaisir à des érotomanes habitués à des comparaisons stéréotypées bien souvent fallacieuses. Ce mamelon a un goût prononcé bien à lui… et c’est tout ! Et ce goût me laisse sur ma faim. Je passe donc à l’autre mamelon… Il a le même goût… ou presque. Voulant m’assurer de la chose, je reviens au premier… avant de repasser de nouveau au second… De la sorte, je vais et je viens entre ses seins, oubliant le goûter pour me livrer à une tétée entêtée qui durcit ses tétins têtus et ma queue que ses doigts délicats continuent de bercer d’un souple mouvement masturbatoire.
    
    — Tu ne voulais pas me sucer… en bas ? me demande-t-elle d’une voix qu’elle veut ingénue…
    
    En réalité, je prends soudain conscience du chronomètre dont son âme de comptable est dotée… Le tiroir-caisse exige sans doute d’autres émoluments. Elle veut achever au plus vite ce clienttétonphile pour engranger le blé d’autres victimes à venir.
    
    L’extase excitée me fait quitter ...
«12...678...11»