-
Mâle reproducteur (2)
Datte: 10/06/2019, Catégories: Erotique, Auteur: yug0lit0, Source: Xstory
... décidé. Il nous a fallu du temps pour préparer notre évasion. Il a fallu monnayer au près du personnel du centre des vêtements, de femme bien sûr pour passer inaperçu, et un véhicule nous attendant dehors. Comment on a fait vous me demanderez ? Et bien en faisant des heures sup avec ces dames tout simplement. Officiellement, elles ne sont pas autorisées à bénéficier de nos faveurs ... Bah voyons ... Comme si aucune d’elle ne s’était faite tringler dans un placard ou une remise. Elles s’étaient presque toutes accordé un congé sabbatique d’un an pour raison personnelle. Tout le monde savait ce que ça voulait dire : elle partait en congé quand leurs grossesses risquait de se voir et revenaient ensuite qu’après avoir accouché et retrouvé la ligne. C’est comme ça, grâce à quelques coups de reins, qu’un soir on est parti en douce. Notre cavale ne s’est pas faite facilement car l’alerte a vite été donnée et des patrouilles de police ont très vite été déployées. On a dû changer de véhicule plusieurs fois mais pas gratuitement. Comprenez par là qu’on a parfois été obligé de payer un bout de trajet en nature. Je me souviens encore de cette camionneuse qui avait embarqué notre petit groupe de quatre dans sa remorque. Quand elle s’est arrêtée et qu’elle a ouvert la porte, il y avait trois autres femmes en plus d’elle qui nous attendaient. On a vite compris que si on ne couchait pas chacun avec l’une d’elle, elles n’hésiteraient pas à nous livrer à la police. Alors on s’est ...
... exécuté et on a organisé une partouze dans la remorque. Malheureusement et malgré nos efforts, on a fini par se faire coincer tout près de la frontière. Bah oui, l’un de nous a fait la connerie de laisser la lunette de la cuvette levée sur une station d’autoroute. Quand une cliente a vu ça, elle a discrètement alerté la responsable de la station qui était au courant de notre escapade par la télévision et les journaux. Sachant approximativement où on était. La police a fini par nous rattraper alors qu’on allait sortir du territoire. On a été conduit dans le sous-sol d’un commissariat où avaient été aménagées des cellules individuelles et où on a été gardé durant trois jours. Le premier soir, on s’est demandé pourquoi on n’avait pas été directement renvoyé au centre. On a vite compris quand chacun de nous a reçu la visite d’une fliquette en uniforme (parfois avec des tendances SM) qui commençait à se déshabiller devant nous, juste après avoir passé la porte. Je me souviens encore quand l’adjudante chef est entrée dans ma chambre, le deuxième jour, et m’a réveillé. Je lui ai dit « Oh non pas encore, pas maintenant, pitié » d’un air résigné sachant pertinemment qu’elle allait user de son autorité. Elle m’a menotté au lit et m’a chevaucher durant de longues minutes. On aurait bien protesté mais en ces temps-là, refuser de se reproduire, comme toute forme de contraception d’ailleurs, était passible de prison. On en était pas loin au centre vous me direz mais en prison on se serait ...