1. La déposition de Lay O'Neel (2)


    Datte: 10/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    ... m’a sodomisée dans un jardin public.
    
    _ Ah ouais, quand même.
    
    _ Non, vous ne comprenez pas. Il m’a sodomisée au milieu d’un parterre de fleurs, la bouche et les seins écrasés contre la terre fraîche. J’avais du terreau plein la bouche, plein les cheveux. Il n’a même pas essayé de se retenir. Il a joui, il a pris son plaisir, il s’est dégagé de moi, et il est parti en ricanant. J’avais dix minutes pour rejoindre le lycée et il le savait.
    
    _ Vous êtes retournée en cours ?
    
    _ Ce jour-là, oui. J’ai juste eu le temps de me nettoyer un peu. Mais deux heures après, j’avais une seule envie : aller chez lui et baiser comme une folle. Sauf que…
    
    Le flic lève un sourcil.
    
    _ Sauf que ?
    
    Lay reprend.
    
    _ Sauf qu’il me l’avait interdit. S’il vous plaît, je pourrais fumer, maintenant ?
    
    _ Fumer, non. Il vous l’avait interdit ? Comment cela ?
    
    _ Interdit. Je n’avais pas le droit d’aller chez lui. C’était fini.
    
    _ Mais votre liaison a continué jusqu’à maintenant, non ?
    
    _ Oui. Mais il m’avait prévenue : si je venais chez lui seule, et sauf à sa demande expresse, il ne m’ouvrirait pas. De la fenêtre de sa chambre, il pouvait voir qui sonnait à la porte.
    
    _ Comment, pas seule ?
    
    _ Au lycée, il y avait une meuf, Léonie… Une fille tellement chaude que tous les mecs bandaient pour elle. Je lui ai dit que j’avais un problème, qu’il fallait qu’elle m’aide. On est arrivée toutes les deux chez Paul cet après-midi-là. On a sonné et aussitôt il nous a ouvert la porte. Il a ...
    ... regardé Léonie. Il a regardé sa petite gueule d’ange, son décolleté de pute, son petit cul de salope absolue. Il a hoché la tête. On est entrées.
    
    _ Et ?
    
    _ Il bandait déjà tellement fort quand on a atteint le salon qu’on avait largement la place pour deux langues. On l’a sucé toutes les deux. C’est après que c’est devenu franchement folklo, parce que moi, je n’avais aucune idée que j’étais bi, mais Paul m’a forcée. Et Manon m’encourageait. Alors j’ai caressé les seins de Manon, j’ai embrassé sa bouche, ses hanches, sa toison, j’ai laissé le bout de ma langue courir sur sa chatte. J’ai salivé sur son clito. J’ai glissé ma langue épaisse dans son vagin. Et d’un seul coup, j’ai eu envie. Envie, vraiment. Envie que mon mec baise cette grosse salope. Envie que cette grosse salope jouisse de mon mec, que mon mec la fasse jouir comme jamais, et que je puisse lui dire qu’il était à moi, rien qu’à moi. Mon Paul. Paul la baisait en missionnaire, de loin. Je veux dire, elle était assise sur le canapé et lui la défonçait, accroupi, le buste redressé. Il voulait regarder Léonie, ses seins, ses hanches, sa sale petite gueule. Alors je me suis foutue à califourchon, tête-bêche, par-dessus elle. Elle a attrapé mes hanches et elle a posé ses lèvres sur mon clito, au moment même où Paul quittait sa chatte pour ma bouche. Retrouver ce goût sur la bite de mon mec, ça m’a donné des ailes. On a ken pendant, je ne sais pas… Deux heures ? Trois heures ? Dans tous les sens. Paul a éjaculé au moins ...