La déposition de Lay O'Neel (2)
Datte: 10/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory
_ La suite ?
_ Toute la suite, oui. Vous comprenez, monsieur, tout ce que j’ai fait depuis deux mois, c’est ce que j’ai imaginé pendant ces dix et quelques minutes où Paul m’a fait jouir de toute mon âme. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de lui obéir, de faire ce qu’il me demanderait, de devenir l’incarnation de tous ses fantasmes.
_ Je vois.
_ Non, vous ne voyez pas.
_ Si, si.
_ Monsieur, ce mec… Enfin… J’étais dépucelée de la semaine précédente. On était à peine début mai. Tous les jours, il m’avait fait jouir. Je séchais les cours pour aller chez lui, pour m’exhiber devant lui, pour sentir sa peau sur la mienne, son souffle dans ma bouche. Un matin, il m’a caressée. Juste caressée. Pendant si longtemps que quand, enfin, il est entré en moi, j’ai commencé à jouir instantanément. Mon vagin serrait sa queue, je ne pouvais pas me retenir, et j’ai joui, monsieur, j’ai joui tellement fort… Il me prenait de face, au-dessus de moi, et il a éjaculé dans ma chatte, mais juste après il s’est retiré. Une deuxième giclée a sali mon ventre et mes seins. La troisième s’est jetée au fond de ma bouche. Il n’avait pas l’air de pouvoir s’arrêter, et moi, à ce moment-là, je jouissais encore. J’ai senti son sperme dégouliner aux commissures de mes lèvres, sur mes seins, de ma chatte, et il est sorti de ma bouche, et il m’a giflée. Giflée à toute volée. Montre-moi que tu m’aimes, il hurlait. Montre-moi que tu m’aimes ! Avale ! Avale tout, salope ! Montre-moi que tu es toute ...
... à moi. Et j’ai tout avalé, évidemment. J’ai ouvert la bouche pour lui prouver que j’avais tout avalé. Il a caressé ma chatte, il a ramassé tout le sperme qu’il pouvait, il m’a renversé sur lui et il m’a fourré ses doigts dans la bouche au moment même où je m’empalais sur sa bite, les seins juste au-dessus de son buste. Il n’a fallu que quelques mouvements : il a éjaculé en moi, et j’ai joui encore une fois, et je lui ai dit que je l’aimais, que je n’étais qu’à lui, que je voulais être toute à lui, toujours. Il m’a demandé : « Vraiment ? » Je l’ai embrassé. Je suis sûr qu’il sentait le goût de son foutre dans ma bouche. « Jusqu’au bout ? », il a demandé. Je l’ai regardé. Je l’ai giflé. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça. Il a voulu me frapper aussi. Mais j’ai esquivé. Je me suis jetée sur sa bite. Je l’ai fourrée dans ma bouche. Je le regardais, les yeux grands ouverts. Et là, il a dit… je ne me souviens plus exactement, mais en gros, il m’a promis qu’il allait me débaucher, m’emmener jusqu’au bout, et j’étais tellement dégueulasse, déjà, je ruisselais de sperme de partout, je sentais sa main droite caresser mon cul, sa main gauche m’écraser sur sa bite, j’en avais jusqu’au fond de la gorge, et je savais qu’il tiendrait parole, et j’en avais envie, et j’ai encore joui comme une folle.
_ Et ?
_ Il a tenu parole.
_ Comment cela ?
_ La semaine suivante, à peine la mi-mai passée, il m’a initiée à l’exhibitionnisme. Quand je dis « initiée »…
_ Racontez-moi.
_ Il ...