Police polissonne (53) - Histoires de Sexe

Police polissonne (53)

Assise au bord du lit, elle regarde avec satisfaction le résultat de son œuvre ; le sexe du garçon raide comme un gourdin lui donne une idée. Alors pour ne pas le laisser sur sa faim, elle lui empoigne d’engin et le branle avec force. Étonné par cette soudaine initiative, il se laisse faire, mais sa surprise est encore plus grande quand la coquine continue à lui agiter le poireau au moment où il lâche tout ; cet acte bien loin de la branlette ordinaire, restera longtemps gravé dans sa mémoire. On sait que l’un des jeux préférés de Sonia, est de continuer à branler longtemps le phallus pour que le garçon arrive plusieurs fois de suite à l’éjaculation ; elle adore voir le mâle se tordre presque de douleur avec la bite en feu. Elle ne s’arrête que quand le pauvre garçon se soit complètement vidé les couilles ; satisfaite, elle regarde le jeune homme encore secoué par d’innombrables spasmes. Une dernière pipe laisse Julien complètement épuisé. Alors qu’il est complètement retourné, couvert de sueur et de sperme, elle lui dit sur un ton désinvolte :

— Alors Julien, tu as bien dormi ?

— En fait pas trop bien, mais par contre le réveil a été sublime. Je me suis souvent réveillé dans la nuit. Je ne suis plus habitué à dormir dans un vrai lit et surtout avec une jolie fille comme toi, répond-il tant bien que mal.

— En tout cas, j’ai beaucoup aimé ce que tu m’as fait et je pense qu’on va recommencer souvent, conclut-elle en se levant.

Elle laisse Julien avec le torse, le ...

... ventre et son sexe dégoulinant de sperme et se dirige vers la douche, elle se prépare puis en ressort toute fraîche et vêtue de sa tenue de « chasseur d’anguilles » soit : Jeans, baskets et sweat-shirt à capuche. En partant elle s’adresse à Julien :

— Donc tu vas rester là, je ne sais pas si je vais rentrer à midi, alors tu te débrouilleras bien pour manger. Repose-toi si tu as mal dormi, et tu peux sortir si tu veux ; je te laisse un trousseau de clefs et tu as de l’argent là ; dans le pot, lui dit-elle en désignant un pot de confiture posé sur le meuble de la partie séjour.

— Merci Sonia, je vais me débrouiller…

— Super, tu as aussi la télé et mon ordi si tu veux ; et puis tu pourrais nous préparer un truc espagnol à manger pour ce soir. Il y a une épicerie juste en bas au cas où tu aies besoin de quelque chose.

— D’accord…

— Alors, à plus…dit-elle en sortant de l’appartement.

— À plus…, répond-il en s’allongeant sur le lit.

Elle se rend au commissariat, et comme à son habitude elle passe voir son chef : Marc.

— Bonjour Marc, tu vas bien ?

— Salut Sonia, le patron nous attend ; bouge-toi, lui dit-il sur un ton agacé.

— OK, mais que se passe-t-il ?

Sans répondre il l’entraîne vers le bureau du commissaire.

— Bonjour Patron, dit-il

— Bonjour ! Sonia tu as eu un problème hier ?

— Non Patron, pourquoi ?

— Alors tu m’expliques pourquoi tu as quitté le bd des marronniers précipitamment, et qu’après avoir pris la direction du commissariat ...