-
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1002)
Datte: 08/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... tête pour l’enfoncer encore plus dans son intimité et le forcer à venir respirer le peu d’air embaumé de ses odeurs corporelles qu’il trouverait dans l’ouverture de sa fente humide qui n’attendait qu’une langue experte pour se faire sucer, de bas en haut et de haut en bas tant qu’elle le voudrait et qu’elle laisserait couler sa cyprine abondante. Le ticket N°3 permis à un homme de haute stature déguisé en centurion romain de s’approcher de la scène pour récupérer à son tour l’esclave qui lui était généreusement attribué pour quelques heures de libres plaisirs D/s et sexuels. Son œil lubrique s’était mis à briller en découvrant le numéro sur le ticket, car la vue de ce frêle soumis, dénudé et affalé après sa défaite, avait excité le vicieux qui sommeillait et avait éveillé en lui des pulsions de Domination qu’il allait pouvoir assouvir sans tarder. Son petit côté exhibitionniste à l’égo surdimensionné le poussa à monter jusque sur la scène pour pouvoir, au vu de tous les autres convives, récupérer, la vraie lopette qu’il venait de tirer au sort, tel un trophée arraché haut la main. Le faux romain tenait dans la main droite un glaive qui n’avait rien d’une arme puisqu’il était factice et fait de bois léger flottant. Mais cela ne l’empêcha pas de jouer du poignet devant toute l’assemblée avant de venir s’en servir comme d’une simple spatule de bois à défaut de paddle sur les fesses du soumis masochiste qui ne put s’empêcher de se mettre à bander tandis qu’il s’arcboutait ...
... pour se redresser et offrir encore plus son arrière train à l’aplat du glaive de bois, allant à la recherche des coups dont il était friand et ayant bien du mal à refreiner son désir de sentir ses fesses s’enflammer encore plus. L’homme malgré ses quelques défauts et sa perversité avérée restait un vrai Maître D/s avec des qualités de Domination certaines, et voyant qu’il était tombé sur un masochiste qui devait être cadré et contraint dans des limites strictes, s’il ne voulait se laisser manipuler en devenant juste un simple « distributeur » de plaisirs-douleurs, s’arrêta net dans sa lancée, rangeant aussi sec son glaive factice sous sa ceinture de cuir. Le centurion portait aux pieds de larges sandales plates de cuir dont les lacets entrecroisés lui remontaient jusqu’aux genoux et d’un geste ferme du pied, il appuya sur le postérieur rougi pour le faire ployer sous son poids et ramener l’esclave à la plus simple platitude à même le plancher de la scène. Tel le chasseur qui pose le pied sur le corps sans vie de la bête féroce qu’il vient d’abattre, le romain surplombait de tout son poids pesant le corps de la lopette qui sentait son sexe durci se recroqueviller tant bien que mal pour se faire une petite place et ses couilles écrasées sur les lattes de bois. A ses dépens, l’esclave venait de comprendre qui serait le Maître de la suite des réjouissances, celui sous lequel il devrait plier. Le romain à la forte carrure attrapa par les épaules le chétif soumis dompté et le ...