1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1002)


    Datte: 08/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    L’anniversaire du Marquis d’Evans – Saison 2 - (suite de l'épisode précédent N°1001) -
    
    C’est donc avec application qu’elle s’attela à sa tâche …
    
    - Dis-moi que tu aimes cela quand même ? Belle salope que tu es ! Dis-moi que tu n’es pas frigide, car on dirait que tu n’as pas apprécié, car tu n’as pas pipé mot et pas poussé le moindre gémissement de plaisir. J’avais le triste sentiment de baiser une muette insensible et de devoir prendre mon pied tout seul.
    
    - Veuillez me pardonner, Monsieur, si tel a été votre ressenti négatif. Je suis vraiment désolée de savoir que vous n’avez pas pris tout le plaisir charnel et sexuel que vous étiez en droit d’attendre de moi qui ne suis là que pour vous contenter de toutes les manières possibles, conformément aux exigences du Maître auquel j’appartiens. Je ne suis pas frigide, je pense qu’aucune des chiennes en chaleur du cheptel MDE ne l’est d’ailleurs. Mais comme vous ne m’aviez pas autorisé à jouir, je me suis retenue dans l’expression de mes émois charnels et intellectuels qui n’en furent pas moins intenses à défaut d’avoir été expressifs et jouissifs.
    
    Monsieur le Marquis d’Evans ayant vu du haut de son promontoire que la distribution des tickets numérotés par Ses quatre chiennes-femelles prenait beaucoup plus de temps que prévu sur l’horaire du déroulement de la soirée, tant les convives semblaient intéressés par les corps dénudés à portée de mains, qui s’offraient si généreusement à eux. Il fit signe à son assistante pour ...
    ... qu’elle réquisitionne dès que possible Ses quatre femelles qui devaient rejoindre leurs places respectives sur la tribune d’honneur. La fin des tickets fut répartie entre les derniers convives par les deux « pony-boys » qui une fois désaltérés étaient désœuvrés dans leur coin. Les deux bipèdes eurent beaucoup moins de succès dans leur tour de table que les femelles qui les avaient précédés. A croire, que les esclaves dont le corps et le visage était entièrement recouvert d’une tenue « fetish équine » devaient être beaucoup moins tentant pour les mains baladeuses et perverses des invités, qui craignant peut-être de se heurter à un sabot ferré qui tenait lieu de gant, se contentaient de piocher rapidement le billet numéroté.
    
    Le premier esclave fut emporté par une Domina qui présentait toute fière le ticket N°2 en venant chercher son tribu pour la soirée. Elle était vêtue d’une robe médiévale qui aurait bien pu convenir à Aliénor d’Aquitaine, celle que l’on nommait en son temps reculé « la Reine Insoumise ». Avec fermeté, elle empoigna la queue de l’esclave le forçant à descendre de la scène s’il ne voulait par être émasculé. Elle retourna à sa place et glissa sans plus attendre le dominé sous la table entre ses cuisses et sous ses grands jupons sous lesquels elle ne portait pas de culotte. La gente Dame sous ses airs de prude Damoiselle d’antan avait bien l’intention de ne laisser que peu de répit à l’esclave déchu pour ses qualités équestres déplorables. Elle lui agrippa la ...
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