1. Un volcan que l'on croyait éteint


    Datte: 08/06/2019, Catégories: fh, hplusag, hagé, cadeau, Voyeur / Exhib / Nudisme fsodo, Auteur: Gustave, Source: Revebebe

    ... tout mouillés dans son petit trou afin de le lubrifier. J’enduisis également mon gland de cette liqueur parfumée en pénétrant son vagin, puis doucement, très doucement, je pénétrais ma jolie partenaire dans son intimité profonde. La sensation était délicieuse et les gémissements de Laure s’intensifièrent. C’était maintenant un râle qui s’amplifiait à mesure que j’entrais plus avant dans son intimité. Dans un premier temps, ma pénétration resta modeste car je craignais de lui faire mal. Mais elle ne l’entendait pas de cette façon.
    
    — Entre encore ! me dit-elle dans un soupir, tout en écartant les fesses le plus largement qu’elle pouvait.
    
    Alors, plutôt passive jusqu’ici, Laure, à partir de cet instant, prit la direction des opérations. Comme j’explorais plus profondément son corps, pas assez vite à son goût semblait-il, elle me caressa les couilles puis les frotta violemment sur son vagin comme si elles devaient y pénétrer. Elle remuait maintenant la croupe avec ardeur. Malgré l’énorme bite plantée jusqu’à la garde entre ses fesses, elle semblait ne pas être encore suffisamment pleine à son goût. Son râle devint rauque, puis me poussant de ses fesses, elle m’obligea à m’asseoir puis à m’étendre sur le dos. Maintenant, c’était elle qui contrôlait nos mouvements. Elle sortait complètement ma verge de son postérieur, puis la prenant en main elle la frottait doucement contre sa vulve puis la guidait à nouveau vers son intimité profonde avec une grande douceur. Elle la faisait ...
    ... entrer en elle lentement, très lentement, comme pour mieux sentir le glissement de mon énorme gland le long de sa paroi intime. Manifestement, cette manœuvre la faisait jouir intensément.
    
    Pendant ce temps, je contemplais avec délices ce petit cul devenu si accueillant et je pelotais ses jolis seins avec ardeur. Ils étaient bien plus volumineux que ce que j’avais pu en juger à travers son chemisier. Sa peau était douce et ses tétons fièrement dressés étaient durs comme du bois.
    
    Le point d’orgue fut atteint lorsque, saisissant ma main, elle la guida vers son clitoris. Il était inondé de liquide, dur comme ses tétons et la douce caresse de mes doigts arracha à Laure des gémissements de bonheur.
    
    Mais tout a une fin et ne pouvant me contrôler indéfiniment, j’inondai enfin son intimité d’une violente giclée de sperme. Était-ce le signal attendu ou la chaleur de mon liquide se déversant en elle, toujours est-il que Laure poussa un cri d’intense jouissance en s’affalant de tout son long sur moi, les cuisses largement écartées et mon membre toujours planté au plus profond d’elle-même.
    
    Nous restâmes ainsi un long moment. Je la tenais étroitement embrassée contre ma poitrine, mes mains sur ses seins et son ventre, respirant le doux parfum de sa chevelure et baisant délicatement sa nuque pendant qu’elle reprenait haleine.
    
    Quelques minutes plus tard, assis dans son petit salon, nous sirotions un dernier café.
    
    — Il n’empêche, Jean, dit-elle avec son sourire mutin, tu es ...