1. Un volcan que l'on croyait éteint


    Datte: 08/06/2019, Catégories: fh, hplusag, hagé, cadeau, Voyeur / Exhib / Nudisme fsodo, Auteur: Gustave, Source: Revebebe

    Il faut que je vous conte cette aventure qui m’est arrivée le mois dernier. Et tout d’abord, je me présente. Mon prénom est Jean. Je suis un senior, comme on dit aujourd’hui, de bientôt 70 printemps. Grand, sec, pas un poil de graisse, pas un poil de bedaine, yeux bleus-délavés, cheveux blancs et drus, je n’ai plus la prétention de séduire mais disons que je reste présentable.
    
    Donc, ce jour-là, la soirée touchait à sa fin. Ma femme, Carole, n’avait pas voulu venir, arguant que ce genre de sauterie ne l’excitait guère. Nous étions trois, confortablement installés au fond de la salle, sirotant un dernier verre. Il y avait Laure, une jolie rouquine au sourire un peu taquin que je rencontre ici parfois. La trentaine bien entamée, Laure est ce qu’on peut appeler une fille bien roulée : grande, cheveux longs, poitrine menue mais ferme, longues jambes délicieusement galbées, bref ravissante. Sa copine, Chantal, que je rencontrais pour la première fois est plus jeune. Elle aussi dans un genre différent est une très belle fille : brune aux yeux marrons dans un joli visage ovale, poitrine opulente, cuisses nerveuses, bref, pour tout dire, ce qu’il est convenu d’appeler une très belle plante.
    
    Nous commentions une discussion qui avait passablement animé notre petite communauté au cours du repas. Il s’agissait de savoir ce que chacun pensait des petits cadeaux en espèces, acceptés parfois par de jolies femmes -hors bien entendu du circuit professionnel- en récompense de leurs ...
    ... faveurs passagères. Mes deux amies semblaient plutôt tolérantes à de telles pratiques. Aussi, je me permis d’abonder dans ce sens en déclarant :
    
    — Ainsi, moi qui vous parle, mes possibilités dans ce domaine étant limitées, compte tenu de mon âge et répugnant à recourir à une professionnelle lorsque le besoin s’en fait sentir, j’offrirais volontiers à l’occasion 300 Euros à la jolie fille qui accepterait de m’offrir ce que je ne peux guère espérer obtenir autrement.
    
    Ces propos restèrent sans écho et semblèrent plonger mes interlocutrices dans un abîme de perplexité. Peu après, Chantal, après un rapide bisou, prit son sac et s’excusa de devoir mettre un terme à cette soirée, prétextant devoir commencer tôt sa journée du lendemain.
    
    Resté seul avec Laure, je lui demandai :
    
    — Ne crois-tu pas que je l’ai choquée avec ma remarque idiote de tout à l’heure ? Elle nous a quittés bien rapidement.
    — Détrompe-toi, me dit-elle, je pense au contraire qu’elle y pense intensément en ce moment et que, d’une manière ou d’une autre, le sujet pourrait revenir sur le tapis entre elle et moi. Mais vois-tu, ce qui risque de la retenir c’est de ne pas savoir à quoi elle s’engagerait en acceptant ta proposition. Elle ne te connaît pas et il y a tant de dépravés, jeunes ou vieux de par le monde, que tu comprendras sa légitime inquiétude.
    — Je comprends fort bien. Aussi je vais m’employer à te rassurer, si tu acceptes d’être mon intermédiaire auprès d’elle. Excuse-moi si mes propos sont un peu ...
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