1. Ma première patronne


    Datte: 03/03/2018, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail grosseins, fsodo, Oral Auteur: Bruno2marnelavallee, Source: Revebebe

    ... pas dû quitter son bureau, lui dire que je la matais depuis le début, plusieurs fois par jour, que je rêvais d’elle, que le soir je me branlais en pensant à elle… J’aurais dû… J’aurais dû tout faire, sauf quitter son bureau comme une larve.
    
    Je me tenais debout, à la sortie de son bureau dont la porte était encore grande ouverte. Je réfléchissais à toutes mes options possibles: rentrer à nouveau dans son bureau, tout lui dire, me jeter dans ses bras…
    
    Je n’avais pas eu le temps d’y retourner que je la vis en ressortir, surprise de me voir encore là, face à elle. Dans ce bref instant, je savais que je ne devais plus réfléchir et aller de l’avant, quitte à tout risquer.
    
    J’avançai alors rapidement vers elle et lui collai ma bouche contre la sienne. Les premières secondes furent très intenses car j’avais peur qu’elle ne me repousse violemment ; mais presque aussitôt, elle ouvrit sa bouche et on commença à s’embrasser de plus en plus fougueusement.
    
    Tandis que nos langues s’entremêlaient dans une danse frénétique, ma main droite vint d’abord prendre sa fesse droite à travers le tissu de sa jupe et la pelota, puis très vite je la redescendis le long d’une de ses cuisses que j’avais trop longtemps matée et dont j’avais rêvé.
    
    Ce faisant, je vins la plaquer contre le mur en parpaings de l’atelier ; notre baiser continuait de plus belle : décidément, elle semblait être en manque et cela m’excita davantage, alors que je n’en avais pas vraiment besoin. Ma main finit par ...
    ... remonter du bas de sa cuisse jusqu’à ses hanches et ses fesses ; sa jupe s’en retrouva largement remontée ; par ailleurs, par le toucher, j’ai vite compris qu’elle portait bien des bas et non des collants, et qu’elle avait un string ou un tanga.
    
    Nous nous sommes embrassés un bon moment, le temps que ma main gauche s’occupe de ses seins à travers son chemisier ; maladroite, elle en avait arraché un bouton et j’avais peur sur le coup que son autorité refasse surface pour m’engueuler de ce mauvais geste. Ce ne fut pas le cas.
    
    Je me sentais fou de désir pour cette femme ; nous étions debout, elle adossée à un vieux mur crasseux, avec sa jupe relevée et la moitié de son gros soutien-gorge blanc dégagée de son chemisier.
    
    Alors que ma main droite redescendait le long de ses cuisses, j’entrepris de caresser son minou ; son entrecuisse était bouillant et moite.
    
    Elle me décolla finalement de sa bouche et me repoussa :
    
    — Donne-moi ta bite, je veux te sucer.
    
    Jamais je ne l’avais entendue parler comme ça, sauf quelques rares jurons lorsqu’elle était énervée après ses gars.
    
    C’est maintenant moi qu’elle repoussait le long du mur. J’étais encore en bleu de travail et pensai l’ôter complètement car il était sale et sentait le cambouis. Je n’en eus pas le temps : elle prit rapidement les choses en main ; elle ouvrit les deux grands zips de ma combinaison jusqu’à mes pieds, puis défit avec dextérité ma boucle de ceinture et elle déboutonna mon pantalon qu’elle glissa jusqu’à mes ...
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