Ma première patronne
Datte: 03/03/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
grosseins,
fsodo,
Oral
Auteur: Bruno2marnelavallee, Source: Revebebe
... dépassais l’heure de débauche, mais ce soir-là allait être bien différent des autres.
J’entendis les talons de la patronne résonner dans l’atelier ; dans la fosse, comme à mon habitude, j’en profitai furtivement pour mater sa basse silhouette.
— Bruno, vous êtes encore là ?
— Oui madame.
— Vous avez fait pas mal d’heures supplémentaires durant ces dernières semaines ; vous savez qu’elles ne seront pas payées ?
— Oui je le sais, vous me l’aviez déjà dit.
— Allez, arrêtez et rentrez chez vous.
— Je préfère terminer si vous me le permettez, comme ça demain, j’aurai juste à la remplir de LHM.
Elle commençait à repartir et, pour la première fois, à me féliciter, sur un ton calme et léger :
— C’est bien ce que vous faites. Je suis contente de vous. Vous êtes déjà autonome et vous êtes travailleur, pas comme vos collègues. J’apprécie. Quand vous aurez terminé, rejoignez-moi au bureau, je vais vous proposer un nouveau contrat.
Chouette, me disais-je ! Je terminai mon chantier, remontai les dernières durites et nettoyai vite fait mon poste de travail. En m’apprêtant à rejoindre les vestiaires pour me changer, je devais passer devant son bureau.
Elle était assise et lisait des documents. Ses cuisses étaient croisées et elles paraissaient plus grosses de profil. Sa généreuse poitrine semblait reprendre de l’air par le haut de son chemisier, libéré d’au moins deux boutons ; dans l’ouverture de la porte, je restai immobile à la mater, pendant plusieurs minutes. Bon ...
... sang, j’avais vraiment la gaule et je la désirais.
Elle tourna la tête et m’aperçut, là, debout comme un dadais.
— Vous avez fini ?
— Oui.
— Eh bien entrez !
Je m’avançai. Tournée vers moi, j’apercevais le haut de ses gros nichons qui avaient l’air d’étouffer. Elle me parlait de mon travail et du nouveau contrat mais je ne l’écoutais plus.
Pour la première fois, je matais franchement ses nibards sans me cacher, sous ses yeux.
— Ça ne vous intéresse pas?
— Si, si…
— Vous avez l’air préoccupé.
— …
— C’est moi qui vous trouble comme ça ?
— En fait, vous m’avez troublé dès notre première rencontre…
— Allons, vous êtes jeune et avez l’âge de mes filles. Elles ne vous intéressent pas ?
— Sincèrement, non. Elles sont très jolies, mais je n’aime pas les filles de mon âge.
— Je sais que vous avez vexé Sandra [sa fille cadette]. Je vous remercie de n’être pas sorti avec elle, car cela m’aurait contrariée
— Elle est très mignonne, mais ce n’est pas le genre de fille qui me plaît.
— Alors vous aimez quel genre ?
— J’aime les vraies femmes, celles qui ont de la classe…
Je m’efforçai de poursuivre, lutter contre ma timidité… Qu’avais-je à perdre ? Un emploi auquel il ne me restait plus que deux jours et un autre CDD ? Intérieurement, je me faisais violence:
— … des femmes comme vous.
— Allons Bruno, c’est vous qui allez me troubler ! Rentrez chez vous et on se revoit demain
Je quittai le bureau et me sentis dégoûté de la vie… de la mienne ! Je n’aurais ...