Un homme peut en cacher deux autres - Histoires de Sexe

Un homme peut en cacher deux autres

... situation. Mais il suçait bien. Ma queue grossissait peu à peu dans sa bouche. Je n’avais pas besoin de penser à ma femme ou à une actrice porno pour pouvoir bien bander : il s’y prenait très bien.

Il s’arrêta et, face à moi à côté du canapé, il s’est déshabillé… complètement ! Sans rien dire, je l’ai suivi. On était tous les deux, nus, les queues droites. C’était à mon tour de lui faire une gâterie, et je me suis exécuté. Je l’ai sucé avec plus d’entrain que la première fois ; il gémissait, il adorait ça. C’est presque comme si… comme si sa queue m’avait manqué !

Puis est arrivé le moment qui allait me dire si j’aimais vraiment les hommes ou pas. Il m’a dit de me mettre par terre à quatre pattes, au bord du canapé, et de me détendre. Me détendre… Plus facile à dire qu’à faire. J’ai repris un verre cul sec (sans jeu de mots) avant de me mettre dans la position. Il est arrivé derrière moi et à commencé à toucher mon anus, délicatement. Alors là, je crois n’avoir jamais été aussi mal à l’aise. Joris m’a dit de me laisser faire, me détendre, me laisser aller.

Il caressait, appuyait doucement. Il sortit un tube de je ne sais où, du lubrifiant, pour m’en enduire mon trou. Puis, d’encore je ne sais où, une capote. Il se l’est mise et s’installa derrière moi. Après une dernière caresse de mon trou, il mit son gland à l’entrée. Il caressait son gland en poussant doucement. J’allais me faire sodomiser. J’allais servir d’objet sexuel à un homme. Comment je devais prendre ça ? ...

... Par plaisir ? Et comment je jouirais ? Je ne m’y connaissais pas en relation homosexuelles.

— Ça aura du mal à rentrer, c’est normal ; mais ne t’inquiète pas : au bout de quelques minutes, tu aimeras.

Il était marrant, lui ; mais j’ai essayé de me détendre quand même. Le gland était rentré ; il ne poussait pas plus. Il le ressortit, et a recommencé, toujours délicatement. Il faisait des va-et-vient juste avec le gland, pour que je m’y habitue. La première entrée m’a fait mal, mais à chaque va-et-vient je m’y habituais.

Il poussa peu à peu pour que ça rentre un peu plus loin à chaque fois. À chaque poussée plus lointaine, ça faisait mal ; mais quand il faisait ses mouvements sans aller plus loin, ça allait. J’y prenais même du… du plaisir ! Tout en gardant la même vitesse, donc lentement, il arriva à la faire rentrer entièrement en moi. J’avais une bite dans le cul ! Mais c’était pas si mal, finalement. Une sensation unique !

Il la rentrait, sortait, rentrait, en accélérant le rythme cette fois. La douleur laissait peu à peu place au plaisir, au plaisir de me faire sodomiser. Selon lui, mon petit trou jamais exploré lui donnait un plaisir immense. Je sentais la chaleur émaner de lui. À vrai dire, moi aussi j’avais chaud ! Le rythme était assez rapide ; il gémissait de temps à autre. Moi, la tête sur le canapé, je subissais, profitais de ses coups de hanches qui emmenaient sa bite au fond de moi. Mon plaisir venait. Sans toucher à ma queue, je me suis mis à jouir en ...