1. Un homme peut en cacher deux autres


    Datte: 07/06/2019, Catégories: hh, grp, hbi, inconnu, Collègues / Travail chantage, Oral préservati, hsodo, init, journal, confession, totalsexe, inithh, Partouze / Groupe Auteur: Lentai91, Source: Revebebe

    Moi, Damien, 35 ans, marié depuis 6 ans, père de famille… Je ne comprends pas… Je suis là, un soir de semaine alors que je devrais être avec mes enfants et ma femme… Et à la place, je suis allongé sur un lit, les jambes en l’air avec un homme me pénétrant et un autre prenant du plaisir dans ma bouche. Mais comment je me suis retrouvé là ?
    
    6 Mars
    
    Cher journal intime ; ce que je fais là est peut-être inutile, mais je ne sais pas pourquoi, j’ai besoin d’écrire ; à quelqu’un, à quelque chose. Voilà, journal, ça fait deux semaines aujourd’hui que je suis… comment dire… différent.
    
    Je vivais « normalement », avec ma femme et mes gosses. J’allais au boulot, je partais en week-end… Mais voilà : un soir, lors d’une petite soirée entre collègues, ça a dérapé.
    
    Je t’explique : un de mes collègues, que je connais depuis que je suis dans la boîte, est gay. Moi, ça ne me pose aucun problème, surtout que c’est une personne super. C’est même d’ailleurs en lui que j’ai le plus confiance dans la boîte. Je sais tout de sa vie, et inversement. On a le même humour : on déconne sur tout et sur rien ; même pour certaines blagues sur les gays, il sait que je ne prends pas ça au sérieux. On rigole même des fois sur le fait qu’on puisse avoir une relation entre nous. Je sais qu’il serait intéressé, et moi j’aurais bien testé un jour ; mais si je n’étais plus avec ma femme, ou avant d’être avec elle, histoire de ne pas mourir « bête ».
    
    Et ce soir-là, un peu sous l’effet de l’alcool, nous ...
    ... étions encore sur la déconnade sur ce sujet. Et il m’a lancé le pari que je ne serais pas capable de le sucer, sous risque d’être accro aux hommes. Et je ne sais pas pourquoi, j’ai accepté.
    
    Arrivés dans la chambre d’à côté, à l’abri de la vue et du savoir des autres, mon collègue Joris, dos à moi, a descendu son pantalon, et en se retournant je vis sa queue, une belle queue, pointer vers le ciel. Sur le coup je ne savais plus où me mettre. Si je refusais et partais, ça pourrait mettre un froid entre nous, et il pourrait me prendre pour un dégonflé. Et si je le faisais, au moins je saurais si j’aime ou pas, et je ferais plaisir à un ami. Sans penser, sans réfléchir, je me suis approché et accroupi face à son membre. Je ne le lâchais pas des yeux.
    
    Je l’ai pris en main, et après un instant d’hésitation, j’ai commencé à le branler. Son sexe était gros, bien plus que le mien. Les autres hommes devaient être ravis. Puis je l’ai mis en bouche, enfin juste le gland pour commencer. Je faisais comme si ce n’était pas moi qui me contrôlais. Je serrais les lèvres sur le gland et faisais des va-et-vient juste le bout de son sexe.
    
    Fallait que je passe à la vitesse supérieure : plus vite et mieux je ferais, plus vite ça serait fini. Quoique, journal, je ne vais pas te mentir ; mais ce n’était pas si désagréable. Sa bite bien en bouche, je le suçais et le branlais comme je pouvais, même si je savais pas trop comment sucer. Mais pour ce qu’il m’a dit après, il aimait ça. Je pensais ...
«1234...»