Une famille sexuellement débridée (3)
Datte: 07/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... prenait l’initiative sans que je m’en rende compte. Elle me faisait tomber dans ses filets.
Papa entra.
Il était dans son grand peignoir blanc, tongs, et nu bien sûr puisqu’il dort toujours dans le plus simple appareil ainsi que mon frère qui ne rate jamais une occasion d’avoir et la bite et le cul à l’air, alors que mon j’aime le pyjama dans lequel je n’hésite pas à me masturber car j’aime bine l’odeur de sperme qui se dégage après... y compris au bout de quelques jours et éjaculations répétées. Ma mère dit que "si on essorait mes pyjamas plein de jute, y’aurait de quoi engrosser toutes les filles du département".
Papa, donc, fit son apparition. Le pan du peignoir légèrement soulevé indiquait une érection,sans que je susse si elle était en essor ou sur le déclin.
- Bonjour mes chéris.
- Bonjour p’pa ! répondîmes-nous en chœur.
Il se pencha vers ma sœur pour lui faire un bisou en posant sa main droite sur le haut de la fesse.
- Tu te fais belle ? Demanda-t-il en restant collé à elle.
- Oui... enfin j’essaie.
Je le vis enlever sa ceinture. Les pans du peignoir s’ouvrirent, j’entrevis la queue et la toison épaisse du pubis, et il se colla contre ma sœur en attrapant ses seins. Tel qu’il était maintenant, sa bite ne pouvait pas être autrement que totalement dressée et coincée dans la raie du cul.
- Eh, mais tu es fou, qu’est-ce que tu fais ?
- Je fais comme tes frères ma chérie, je rends hommage à tes charmes.
- S’te plait, p’pa arrête.
- ...
... Tu veux pas être aussi gentil avec moi qu’avec tes frères... Tu sais, à leur place hier soir, et si j’avais pu rebander au quart de tour, j’t’aurais piqué le gode et je t’aurais foutu ma queue à la place... rien ne vaut le naturel... tu ne perdrais pas au change... tu la sens là comme elle est dure ?
- T’es lourd p’pa ! Répondit ma sœur sans grande conviction apparente.
J’assistai à ça sans broncher. Je n’étais pas scandalisé... après avoir juté sur ma frangine quelques heures avant, j’étais mal placé pour être choqué. En fait j’aurais juste eu envie de faire ce que mon père faisait d’autant que les protestations de Patou semblaient vraiment de pure forme car elle ne parlait pas bien haut et les quelques mouvements qu’elle faisait devait sûrement plus exciter la queue du daron que lui permettre de se dégager de son étreinte.
Je le vis opérer un léger mouvement de recul, le temps qu’il empoigne sa bite d’une main, sans desserrer sa pression sur le sein gauche de l’autre, et repositionner l’engin plus bas, entre les cuisses en ayant sans doute écarté le string du bout de son gros bâton.
- Tu le sens mon gland là ? Putain, moi je sens bien ta petite chatte. Tu mouilles... c’est d’exciter ton frangin comme ça qui t’a mis dans cet état ou tu y’étais déjà en venant ? T’as vu comme il trique ? T’attendait qu’il finisse ce qu’il a commencé tout à l’heure ? T’es venue le chauffer ici, hein ? Putain, c’est vrai que tu mouilles.... t’aime ça hein que je frotte mon gros nœud ...