1. Une famille sexuellement débridée (3)


    Datte: 07/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Le lendemain matin, au réveil, ma gaule matinale me rappela aux bons souvenirs de la veille. Je bandais comme un âne et portais immédiatement ma main à ma verge rien que pour le plaisir de la palper et de la sentir toute dure et terriblement tendue. J’étais fier de ma virilité.
    
    Un rayon de lumière se faufilait de dessous les persiennes entre les plis du rideau et perçait les ténèbres.
    
    Il devait faire beau. J’entendis chantonner dehors. C’était maman, qui se lève toujours tôt; du printemps à l’automne, si le temps le permet, elle jardine et, dans le cas contraire elle cuisine. Parfois elle allait chez la mère pétard (appelée ainsi pour son gros cul) prendre un café. Depuis quelques jours cette robuste paysanne retraitée, nonagénaire et très originale, qui habitait en face de l’ancien garage jouxtant notre terrain, donnait des signes de fatigue. Elle venait d’être hospitalisée. Maman prenait ordinairement soin d’elle et, en son absence, elle avait accepté de s’occuper de la maison, de l’aérer et de donner à manger au chien.
    
    Je décidais d’aller soulager ma crampe sous la douche. Il était 10 H 20 à peu près.
    
    Le temps que je sorte du lit et que j’entre dans la cabine, j’avais commencé à débander. C’était aussi bien... je jouerais avec la pression du jet sur mon pénis et le ragaillardirait ainsi.
    
    Me tournant et retournant sur moi-même je ne vis pas ma sœur entrer.
    
    - Salut P’tit frère.
    
    - Salut Patou dis-je en me retournant pas plus gêné que ça bien ...
    ... évidemment.
    
    Elle était quasiment nue. Un string rouge, très fin, servait plutôt à attirer le regard sur la tâche brune de la touffe en dessous qu’à la camoufler.
    
    Je fus saisi par la force érotique de sa toison ainsi devinée et la beauté de ses nichons.
    
    Ce n’est pas que je les eusses vu la veille pour la première fois. Non. Ma sœur est adepte du topless, surtout en bronzette dans le jardin en juillet et août. Cette fabuleuse poitrine, plus d’une fois j’en avais admiré le galbe et puis je m’étais habitué à la voir et, de ce fait, je ne la voyais plus, m’interdisant de toute façon d’y penser autrement que comme un bel et inaccessible objet.
    
    Mais le fait d’y avoir porté la main la veille au soir me fit considérer sa jeune opulence sous un autre angle, celui que fit ma bite, en grimpant d’un bond, avec mon bas ventre.
    
    Patou se regardait dans le miroir, penchée légèrement en avant, le cul tendu en arrière, lascive, sans paraître faire attention à mon érection. Moi je ne pouvais pas détourner le regard de sa mamelle et de son petit cul bien rebondi et ferme.
    
    J’avais envie de lui retoucher les seins, j’avais envie qu’elle me suce et je me disais que si j’avais été mon frère, rien ne m’aurait retenu et je serais déjà sorti de la douche pour entreprendre quelque chose.
    
    Patou essayait de voir et d’enlever quelques points noirs, sans doute imaginaires, sur son visage. C’était un prétexte pour me chauffer, mais pour le moment j’étais trop con pour percevoir ce petit manège. Elle ...
«1234...»