1. JUSTE TIRER MON COUP 2


    Datte: 06/06/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... rien ne pourrait l'en empêcher. Il viendrait quand il le déciderait et ce serait une explosion de plaisir.
    
    Mon corps désormais était disposé à attendre.
    
    Le ventre de Théo s'écrasait contre mes fesses. Je râlais de plaisir et un peu de … Finalement peut être pas. Non … Je ne râlais que de plaisir !
    
    Il appuyait de toutes ses forces, j'ai aimé, j'ai contracté mes bras mais sans le vouloir. Théo m'enlaçait alors et me retenait fermement. Il enfonçait alors sa queue dans mon cul avant de la retirer avec lenteur. Pas vraiment avec douceur, elle était trop grosse pour ça mais avec lenteur.
    
    Je la sentais bien qui glissait dans mon muscle anal totalement distendu. Elle glissait, entrait, sortait. Je convulsais et par réflexe tentais de me dégager. Il resserrait alors les bras autour de moi.
    
    Il me glissait à l'oreille '' Referme les cuisses !''. Je m'exécutais, j'avais un peu d'appréhension mais je m'exécutais. Il passait alors ses jambes à l'extérieur des miennes, ses genoux à l'extérieur de mes cuisses puis reprenait les mouvements de son bassin. Mes fesses étaient bien refermées, mon cul redevenu étroit, terriblement étroit, s’alarmait.
    
    Théo m'embrassait dans le cou, me mordillait les épaules et appuyait de toutes ses forces son bassin contre mes fesses quand sa queue arrivait au fond de mon cul. Ma prostate s'affolait, je gémissais fort, je râlait et là, ce n'était pas que du plaisir … Enfin … Oubliez de que je viens de dire, c'était un plaisir de chaque ...
    ... mouvement, un plaisir de chaque seconde. Un plaisir qui finissait par me faire hurler. Ensuite j'étais pris de tremblement nerveux, je ne contrôlais plus mon corps, je pleurais, je gémissais, je bavais … Je ne lui demandais pas d'arrêter et il n'arrêtait pas.
    
    Il continuait à me labourer le cul, à m'éclater la rondelle. Ses mouvements étaient devenus violents. Son ventre s'écrasait avec brutalité contre mes fesses puis poussait de toutes ses forces. Il se retirait ensuite entièrement, sa queue ressortait de mon cul et revenait. Parfois il passait sa main, glissait un doigt en moi et c'était sa queue qui revenait avec violence.
    
    Sa respiration devenait plus forte, il râlait de plaisir et gueulait finalement au moment ou il jouissait en moi. Il se laissait alors retomber sur mon dos de tout son poids. Ce contact chaud et doux était agréable, je retrouvais rapidement sa douceur. La douceur de ses lèvres, de ses caresses, de sa peau. Je continuais à chialer encore un moment avant de retrouver totalement mon calme. Il se retirait.
    
    Je restais là amorphe, sans bouger, sans pouvoir bouger. Pas la force, pas envie, je ne sais pas mais je ne bougeais pas. Je continuais à respirer fort encore un long moment. Je me retournais sur le dos, je tentais de me relever mais j'étais alors pris de vertige, je retombais sur dos avec un grand sourire, j'étais heureux. Je ne bandais plus, je n'avais pas juté mais j'étais heureux.
    
    Théo s’asseyait en tailleur à côté de moi. Il me caressait tout ...
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