JUSTE TIRER MON COUP 2
Datte: 06/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... collaient l'une à l'autre. Ses baisers étaient chauds. A chaque fois que je voulais passer à l'action il me recouvrait de caresses, de baisers encore plus tendre, encore plus intense …
Je parvenais à le retourner sur le dos et à l'embrasser sur tout le corps en descendant vers son sexe. Il ne me retenait plus, il me laissait faire. Je sentais tous ses muscles se détendre au moment ou je prenais sa queue dans la bouche. Je l'avais vu énorme, elle était seulement de très belle taille, mais avec mon entraînement je parvenais sans difficultés à la prendre dans ma bouche.
J'en profitais, je la suçais, je passais ma langue sur son gland et quelques frémissements me disaient qu'il aimait. Il m'encourageait en me caressant les cheveux.
Les instants de fièvre étaient oubliés, j'avais dans mes bras un corps magnifique, totalement détendu, j'avais dans la bouche un très belle queue que j'espérais bien me prendre dans le cul. Je lui gobais les couilles, il se saisissait un peut et je sentais ses muscles se contracter.
Je remontais mon visage contre le sien, et restais là une ou deux secondes qui semblaient durer des minutes, de très longues minutes à le contempler, il me souriait. De nouveau nos bouches se collaient l'une à l'autre, nos langues se combattaient dans une lutte de douceur, nos bras caressaient l'autre, nos jambes se mélangeaient, nos sexe se touchaient. Nous bandions fermement.
Il me retournait sur le ventre sans rien me demander, longuement il me couvrait de ...
... baisers entre les omoplates, il me chatouillait et me faisait rire. En même temps d'un doigt fouillait entre mes fesses, et avec un peu de gel fouillait un peu plus profond. Un doigt, puis deux passaient, me dilataient doucement mais fermement l'anus. Je soupirais de plaisir, tournais la tête sur le côté.
Deux doigts me massaient doucement la prostate, j'ouvrais la bouche pour gémir, il déposait alors un baiser sur la commissure de mes lèvres et frappait plus fort contre ma prostate. Je gémissais, il frappait alors très fort. Je repliais alors mes bras sous mon ventre et tentais de me relever. Ils s'allongeait alors sur moi et c'est sa queue qui maintenant poussait contre mon anus. Je respirais fort et le laissais faire.
Il poussait, mon cul résistait. Il forçait, mon cul s'ouvrait, se dilatait et je sentais son énorme pénis s'enfoncer lentement dans mon cul, je le sentais me remplir. Son mouvement était lent, il ne me faisait pas mal mais ce devait être à la limite. C'était bon. Sa peau contre la mienne, c'était bon. Ses cuisses allongées entre mes cuisses, c'était bon. Ses baisers dans le cou, c'était bon. Son corps chaud qui s'écroulait sur moi, c'était …
Et ma queue, heureuse de sa liberté retrouvée, fièrement allongée contre mon ventre, entre le lit et mon ventre. Ma queue ne réclamait plus le plaisir qu'elle avait tant attendu. Ma queue désormais savait attendre, elle laissait le plaisir monter, venir. Il viendrait quand il le voudrait, il viendrait quand plus ...