1. Le jour de l'an


    Datte: 06/06/2019, Catégories: fh, ffh, fête, hsoumis, miroir, Oral 69, pénétratio, yeuxbandés, confession, entrecoup, extraconj, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... précise :
    
    — En principe on n’entend pas d’une pièce à l’autre, mais ce n’est pas parfait.
    
    Et appuyant sur un bouton :
    
    — J’ai un micro de l’autre côté.
    
    C’est bien leur chambre. De ce côté le miroir paraît plus grand. En tout cas on a accès à presque la totalité de la pièce. Le lit est évidemment le centre d’intérêt. Encore que mes expériences avec eux m’aient démontré que le lit n’est pas le lieu principal chez eux et que tout endroit, tout meuble est prétexte à diversifier leurs parties.
    
    Elles sont bien là. Déjà sur le lit gisent plusieurs sextoys de formes et de couleurs différentes. Les œufs intimes et les boules de geisha font petites choses à côté. Vibrants et non vibrants, assez classiques si ce n’est un double manifestement pour occuper chatte et cul d’une femme et cette longue tige noire avec une forme de gland à chaque extrémité.
    
    C’est justement cet objet que tient ma femme entre les mains et manifestement vient de poser une question à son amie qui lui répond.
    
    — Oui. Plusieurs fois.
    — Ah !
    — Libertins ne veut pas dire uniquement entre homme et femmes.
    
    Libertins ! Le mot est lâché ! Il est prononcé comme un rappel, pas pour une découverte. C’est évident, à un moment ou à un autre Sandrine a abordé le sujet avec ma femme. Ce soir ? Pendant qu’elles dansaient, elles étaient manifestement complices. Hier déjà ? Pourtant Adèle n’a fait qu’émettre une hypothèse, un ressenti, pas un échange si intime.
    
    — Ah ! Et ça ?
    
    Adèle montre une ...
    ... pochette de tissu. Sandrine la saisit et renverse ce qu’elle contient sur le lit. Elle ne parle pas, mais à la façon dont elle place ses lèvres, j’ai l’impression d’entendre sa surprise. Et on pourrait l’être si on refusait ce que la vie propose dans sa diversité.
    
    Des plugs. Je reconnais ceux que mes amants aiment m’enfiler. En particulier le plus gros que Sandrine me glisse presque à chaque fois afin de me préparer au mandrin de son mari qui ne saurait passer la soirée sans venir honorer mon cul, quand ce n’est pas pour ajouter une couche après que Sandrine m’ait enculé avec le double gode. Ce gode que justement Adèle tient entre les mains. Elle le montre à son amie qui répond à la question muette en le saisissant et le plaçant contre son pubis, la transformant un instant en mâle bien monté.
    
    — Pierre ? dit Adèle qui commence à comprendre que le couple est très éclectique dans ses goûts.
    — Lui ou d’autres. Cela dépend. Mais rien ne remplacera jamais une vraie.
    — Une vraie ?
    — Un sexe d’homme.
    — Ah !
    — Tu parais en douter. On dirait que… Ne me dis pas que tu n’as jamais été…
    
    Adèle secoue la tête.
    
    — Vraiment. À notre époque. Un couple moderne comme vous ! Jamais ! Jamais Alain n’a essayé ?
    — Si au début, mais jamais après.
    — Tu ne sais pas ce que tu rates.
    
    Manifestement cette conversation perturbe ma femme qui, pensant changer de sujet, demande :
    
    — Et ceux-ci ?
    
    Le sujet change, mais pas dans le sens d’une sexualité « classique ». Cordes, liens, menottes, ...
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