Le jour de l'an
Datte: 06/06/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
fête,
hsoumis,
miroir,
Oral
69,
pénétratio,
yeuxbandés,
confession,
entrecoup,
extraconj,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... Combien de fois cette scène s’est-elle déroulée ? Et même si le scénario diffère, la trame reste la même. Le pire, c’est qu’ils ont su utiliser cette rencontre dans la boutique de lingerie pour tendre leur ligne. Et que de fil en aiguille, confidence après confidence, soumission après soumission, j’allais leur apporter la clef pour le reste.
Oui, je suis aux premières loges.
Je vois cette fente humide que le gland entrouvre et dilate au point de disparaître, éclaireur du reste de la troupe, hampe large et longue qui avance à sa suite.
Je vois les couilles, si grosses et gonflées qu’elles semblent avoir perdu toute individualité, formant un réservoir de foutre bien vite reconstitué après m’avoir gratifié d’une première salve.
Je vois les yeux de ma femme qui doit se voir prise dans le miroir. Elle, qui généralement ferme les yeux pendant l’amour, les garde grands ouverts comme si elle cherchait à comprendre comment…
Je vois le mandrin ressortir, grand, brillant… Merde, il n’a pas mis de capote !
— Il n’a pas mis de capote, dis-je à celle que je laboure.
— On est clean, tu le sais et ta femme m’a dit qu’elle n’avait pas eu d’amant.
Et voilà, en quelques heures Sandrine s’est fait la confidence de mon épouse… De toute façon, cela n’a plus d’importance.
Pascal se libère, bougeant avec plus de force alors que ses mains s’agrippent aux hanches de la femelle. Ma pute de femme ne se prive pas de se cambrer pour aller au-devant de ce vit que finalement sa ...
... grotte accepte sans façon.
C’est affreux. Je suis le pire des maris. Par mon attitude, ma lâcheté, la satisfaction de mon vice, j’ai entraîné ma femme dans la luxure. En une soirée, quelques heures à peine, elle s’est laissé séduire par une femme dans des jeux lesbiens et maintenant elle paye ma faiblesse en se faisant prendre par Pierre.
Ses seins se balancent sous les poussées du mâle. Le chibre coulisse si facilement que je ne peux douter du plaisir qu’elle ressent. Son regard est mouillé de tant de sensation. Elle pleure et maintenant j’ai compris que ce n’est pas de regret, mais de plaisir.
Je suis fasciné et c’est Sandrine qui se charge de s’activer sur mon bâton. Elle sait y faire avec ses mouvements tortueux qui m’excitent.
Je crache le premier. Évidemment, ce salaud de Pierre qui s’est déjà vidé une fois peut durer plus longtemps. C’est aussi bien, cela me laisse toute l’attention nécessaire pour les entendre jouir, même si Adèle est toujours aussi peu parlante, lui l’est pour deux. Et que dire de ce mandrin encore bien gros qui se retire libérant le sperme qui s’évacue de la fente.
— Tu devrais descendre. Pierre va te rejoindre et moi j’accompagnerai ta femme. Ainsi personne ne saura.
Personne ne saura !
Mais si, moi je sais !
Ne suis-je pas le premier intéressé !
La salope ! La putain !
Pire, vicieuse qui cache son jeu pour se laisser baiser par le premier venu.
C’est le genre de pensées que j’ai alors que je suis de retour au sous-sol ...