1. Comment je suis devenu un homme


    Datte: 05/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byberto41, Source: Literotica

    ... suivante j'attendis donc fiévreusement que le clocher du village égrene les douze coups de minuit... Alors, entièrement nu, je traversais notre logis à pas de loup et me glissais subrepticement dans la lit de ma mère...
    
    Doucement, tout doucement, je glissait ma main sous sa chemise de nuit. Au toucher de sa peau douce et tiède ma « bite » était entrée en éveil, mais dès que j'eus atteint sa toison, j'eus l'impression qu'elle était devenu aussi dure qu'une barre de fer!
    
    A ma grande satisfaction, je sentis la pression de ses cuisses se relâcher. Mon cœur battait à tout rompre. J'essayais de me frayer un passage entre les poils frisés, craignant à tout instant le réveil maternel.
    
    À la seconde ou mon majeur avait finalement trouvé un « passage » à travers les poils et découvert l'orée du bonheur, maman s'éveilla.
    
    C'est toi mon petit François, mais que fais-tu?
    
    Ma gorge se noua. Que dire, que faire, que répondre... J'optais pour la force: je retirais promptement ma main et pris ma mère à bras le corps.
    
    Mais que fais-tu mon chéri? Tu es tout nu! Et ... Oh tu... Tu es tout dur...
    
    Pardon maman, je ne voulais pas te faire du mal...
    
    Et je m'apprêtais à fuir tout honteux, mais comme je la tenais toujours fermement enlacé, les déhanchements qu'elle exécutais pour tenter de se dégager ne contribuèrent qu'à porter mon excitation au paroxysme, mon sexe turgescent était terriblement douloureux.
    
    Qu'est-ce qui te prend mon petit garçon? Arrête, je suis ta ...
    ... maman...
    
    Finalement, je finis par balbutier:
    
    Je voulais juste savoir... Je ne suis plus un bébé maman chérie, je te demande pardon.
    
    Et improvisant je glissait ma tête sous les draps pour poser mes lèvres sur son « minou »
    
    pensant y déposer un baiser pour me faire pardonner.
    
    J'avais ainsi maintenant le nez dans sa touffe. L'odeur qui en émanait décupla mon désir. J'étais comme enivré par l'effluve. Je me fforçais un passage entre ses cuisses, l'obligeant à les s'ouvrir largement. Mes lèvres déposent dix, cents baisers sur cette motte interdite. Sa résistance faibli à l'instant, ou d'instinct ma langue s'enhardit et entrant en mouvement, écarta sa « fente ».
    
    Maman abandonnant toute velléité de résistance., releva ses jambes. Ma tête est maintenant bien installée et ma langue qui a terminé son œuvre de pénétration s'active dans cette « grotte » subitement toute humide et bien ouverte.
    
    Je me redressais aussi rapidement que je le pu, sans brusquer et m'installais sur cette femelle qui se soumettait.
    
    Mon gland trouva sa place, et je le sentis s'enfoncer telle un épieu.
    
    Émoi, douce sensation, l'instinct, l'inné, commandait à mes reins d'entrer en mouvement. J'allais et venais. Tel un piston de chair mon sexe s'activa dans la matrice maternelle dont il avait pris possession de force.
    
    Bien qu'elle n'offrit plus le moindre signe de résistance, j'éprouvais le besoin d'emprisonner fermement ses poignets pour lui faire comprendre qu'elle était totalement sous ma ...