Comment je suis devenu un homme
Datte: 05/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byberto41, Source: Literotica
Avertissement: ce récit est authentique et non enjolivé. Il commence à la fin des années cinquante.
J'allais avoir seize ans, nous étions fin septembre, la rentrée scolaire approchait...
Mon père avait repris le travail et j'étais resté seule avec ma mère, dans la petite maison ou nous passions traditionnellement nos vacances. Maman en avait hérité de ses parents à la mort de ma grand-mère, huit ans plus tôt.
Ma mère avait épousé mon père de presque quinze ans son aîné, très jeune: elle avait maintenant à peine trente quatre ans. Subitement, je réalisais qu'elle n'avait que dix huit ans à ma naissance; elle était donc « tombée enceinte » suivant l'expression consacrée à dix sept ans...
À part cela, en ce qui concernait le sexe, mes connaissances étaient succinctes. Tout au plus en fin de cinquième, j'avais appris de copains plus avancés que moi l'existence d'un « liquide visqueux et blanchâtre » que l'on pouvais libérer en se « branlant »: « la jute ».
La nuit suivante j'avais aussitôt tenté l'expérience... Et dessiné ma première « carte de France » dans mes drap. La sensation que j'en avais retiré m'ayant procuré une certaine forme de plaisir, depuis, je me « branlais » presque toutes les nuits.
Avec le temps j'éprouvais le besoin de passer à un stade supérieur, et depuis une semaine que nous étions seuls, je passais mon temps à épier les moindres gestes de ma mère. Le matin après le petit déjeuner, comme d'habitude je m'éclipsais pour rejoindre mes ...
... copains, sauf...
Que depuis le début de la semaine je n'allais nulle part, mais attendait que maman s'enferme dans sa chambre pour faire sa toilette et s'habiller. En passant par le jardin, je me faufilais jusqu'à un poste « guet » d'où je pouvais observer l'intérieure de cette chambre. Grâce au jeu combiné de l'armoire à glace et d'un autre miroir peu de détails échappaient à ma curiosité.
Généralement maman se mettait « à poil » pour procéder à sa toilette. Le premier jour j'avais été subjugué en la reluquant ainsi. Ses « doudounes » étaient comme celles des filles que j'avais pu voir sur les magazines « cochons » de mon ami Claude G., mais le bas de son ventre était lui tout différent. Une touffe de poils noirs, bien plus importante que celle qui encadrait maintenant ma « bite ». Elle se lavait cet endroit à l'aide d'un gant de toilette et parfois s'accroupissait sur un « bidet » en émail qu'elle remplissait préalablement d'eau avec un broc.
Il faut préciser qu'à cette époque la commune n'avait pas encore l'eau courante. D'une pompe dans le jardin nous tirions l'eau nécessaire à la maison dans un seau, ou dans un grand broc d'une dizaine de litres.
Pour en revenir à ma nouvelle distraction matinale, dès le deuxième jour, au stade que je viens d'évoquer, j'avais ouvert ma braguette et je me livrais activement à une branlette éffrénée. Après quatre jours de ce régime j'avais décidé de passer à un stade supérieur. et improvisais un plan pour passer à l'action.
La nuit ...