L'Algérie (4)
Datte: 04/06/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: Calinchaud, Source: Xstory
— Suis content d’être un peu seul avec toi, Marc, ça nous permettra de parler et de mieux faire connaissance tous les deux.
— Moi aussi, Karim, ça me fait très plaisir.
En le sentant se rapprocher encore de moi avec sa main assez haut sur ma cuisse.
— Tu apprécies ton séjour à Oran et chez nous ?
— Oh oui Karim... Rachid s’occupe tellement bien de moi... !!!
— Tant mieux... C’est son rôle de te faire connaître notre ville, ses amis, et tous les plaisirs de l’Algérie.
— Pour ça, je te rassure Karim, il le fait très bien.
— Et tu apprécies ?
— Complètement et à fond...!!!
— Oui, c’est ça... Bien au fond... C’est ce que j’ai pu entendre en passant près de votre chambre, et surtout hier soir.
— Je suis... désolé, Karim... Tu vas le dire à Lucie et me mettre dehors ?
— Mais non Marc, ne t’inquiète pas. C’est souvent que les jeunes s’amusent entre eux en Algérie, je l’ai souvent fait dans ma jeunesse aussi.
— Tu es trop gentil Karim. Je ne te fais pas honte ?
En lui faisant un gros bisou sur sa joue piquante et bleue de barbe.
— D’après toi, c’est de la honte ça ? Et il a plaqué ma main sur son membre qui prenait des proportions gigantesques, me soulevant comme une plume pour me poser sur ses genoux en ayant enlevé son marcel avant.
Rachid était poilu, mais son père, c’était une véritable forêt de poils, partant de la lisière de son short, couvrant tout son torse jusqu’aux épaules et continuant sur son dos. Je crois qu’il fallait compter ...
... les centimètres carrés de sa peau qui avaient pu rester glabres. Je n’avais jamais vu cela, à part les reproductions de « l’Homme de Cro-Magnon » dans mes bouquins de sciences.
Je ne pouvais pas m’empêcher de passer mes mains, ma bouche, partout sur cette toison, me délectant de sa douceur, de son odeur débordante de testostérone. Il a eu vite fait de me débarrasser de mon short et de mon petit slip, enlevant le sien par la même occasion, laissant son membre surgir qui dépassait allègrement son nombril.
Jamais je n’aurais pensé, après celui de Rachid, qu’un sexe d’homme puisse être aussi gros, même s’il m’avait prévenu au préalable. Je me suis un peu penché pour que ma chatte frotte sur son gland suintant de l’humidité de son précum en me disant, en moi-même, que j’étais en train de devenir fou.
Au vu de l’engin, je commençais à comprendre pourquoi Samira pleurait assez souvent. J’avais lu quelque part qu’un vagin avait des limites à la pénétration, et que même conçu pour cela, il n’était pas extensible.
Voyant mon état de quasi-transe, il m’a porté jusqu’à la chambre de Rachid ; me sentant comme une poupée désarticulée dans ses bras puissants.
Il m’a allongé sur le lit, couvrant mon corps de baisers, et je voyais son sexe s’allonger encore, me demandant comment cela était encore possible.
Les hommes algériens devaient avoir davantage de sang dans leur corps que les nôtres pour pouvoir maintenir un tel pieu dans un état de raideur totale, et aussi dur.
— ...