Les Confins
Datte: 03/06/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
pénétratio,
fantastiqu,
initiatiq,
amourdram,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... moi…
Il la regarde, il la découvre enfin avec d’autres yeux : elle est mignonne à croquer, un certain caractère, de la volonté mais aussi une certaine tendresse un peu bourrue mais de la tendresse. Et lui, sa vie n’a été qu’une longue série de batailles, de conflits vers cet Ultime Combat, le dernier sans doute.
Alors sans hésiter, pour la première fois et peut-être pour la dernière fois, il la veut à lui, il a une envie folle de lui faire l’amour, de goûter à sa chair, de la posséder. Délicatement, il pose ses larges mains sur ses joues rosées, puis l’embrasse de toute la douceur dont il est capable.
Ils se dévorent durant de longues minutes, leurs mains se caressant, se cherchant, s’agrippant. Peu à peu, leurs peaux se révèlent, leurs habits s’enlèvent. Ils peuvent ainsi apprécier les courbes de leurs corps, leurs jeunes muscles sous une peau délicate, la fraîcheur des jeunes adultes en devenir.
Leurs frôlements s’enhardissent, leurs câlineries deviennent plus précises. Il ose saisir ses seins, les soupeser, s’émerveiller de les avoir à lui, de jouer avec les frêles tétons dressés. Elle épouse de ses doigts son large et long torse à la musculature déjà évidente, un mélange de force et de gracilité, ce corps dont elle a si souvent apprécié la chorégraphie lors des duels.
Il descend imperceptiblement vers son ventre, puis ses hanches, sa chute de reins, à la découverte de ses courbes. D’un même accord, elle suit le même chemin, à travers ses formes plus ...
... anguleuses mais pleines de force latente. Mais elle s’enhardit plus que lui et saisit son sexe déjà bien raide et commence une douce mais savante masturbation, découvrant puis recouvrant dans une lenteur calculée son gland turgescent. Il commence à perdre petit à petit son contrôle, goûtant cette caresse très libertine.
Soudain, prestement, elle le plaque sur le lit, les épaules dans l’oreiller, puis, posément, le chevauche, ses genoux encadrant de part et d’autre son ventre déjà sculpté malgré qu’il sorte de l’adolescence. Elle esquisse un fin sourire, celui d’un félin qui savoure sa proie. Malgré lui, il éprouve un fin frisson.
Alors, sereinement, elle s’empare à pleine main de son sexe dur, puis, sans hésiter une seule fraction de seconde, elle le dirige vers sa grotte déjà humide. Le gland turgescent s’engouffre entre les délicates lèvres humectées qui l’enveloppent délicatement. Ce contact si suave le fait un peu sursauter, son cœur palpitant à tout va.
Elle le regarde sereinement, comme s’ils étaient amants depuis des temps immémoriaux, comme s’il en avait toujours été ainsi, puis, dans un petit cri, elle s’empale à fond sur lui, le pieu de chair bien calé en elle.
Il agrippe alors ses hanches, elle est à lui, il est en elle, puis, ensemble, ils ondulent du bassin pour mieux se trouver, pour mieux se souder l’un à l’autre, pour que leurs sexes exacerbés s’épousent parfaitement.
— Mes seins ! Prends mes seins !
Sitôt dit, sitôt fait : il capture ses mignons ...